Mon Avis : Je ne vous cache pas que je suis depuis longtemps une lectrice de bit-lit. Ce n’est pas mon genre de prédilection, mais j’aime de temps en temps en lire quelques-uns, ça se lit vite, c’est pas trop prise de tête et ça permet de déconnecter complètement. Me voici donc à acheter La Meute du Phénix « Révélation Bit-Lit de l’Année »… Le postulat de base me plait bien, une héroïne dont la louve est l’attente (elle est présente mais ne peut émergée) ça a déjà été exploité auparavant (dans le tome 3 de Psi-Changeling notamment) mais assez peu en personnage principal. Après on retrouve les caractéristiques classiques du genre : le bôoo mâle testostéroné, viril à souhait, entouré d’autres mâles possédant les mêmes caractéristiques (si ce n’est qu’ils présentent de manière aléatoire : une prédisposition à l’informatique, un humour décapent, un humour graveleux, un mutisme propre aux hommes sages, etc.) et qui forme une meute. Rien de bien neuf sous le soleil, sauf que : cette meute est assez récente et qu’elle ne possède que très peu, si ce n’est aucune alliance et c’est là que Taryn entre en scène. L’intrigue s’en trouve originale de ce point de vue : Taryn et Trey ne se connaissent pas mais vont passer un accord afin d’échapper à un mariage arrangé dans un cas et d’avoir des alliances dans l’autre. Le tout est assez bien mené. MAIS… (il fallait bien qu’il arrive celui-là) : Taryn a un langage ordurier si poussé que la lecture devenait par moment difficile, de même que la grand-mère de Trey, qui ne vaut malheureusement pas mieux de ce côté, apporte un côté assez choquant qu’en on imagine que la dame est une vieille femme… Et ce qui est le plus dérangeant, ce sont les scènes de sexes. Habituellement, ces passages ne me gênent pas plus que ça, faisant partie intégrante du genre, si vraiment cela avait été un point ultra négatif j’aurai arrêté depuis longtemps. Non ce qui m’a gêné surtout ça a été l’impression d’assister à un viol à chaque début de scène. *Attention je serais directe* L’héroïne ne fait que dire NON, jusqu’à ce qu’il y est – enfin – pénétration, à ce moment ouaaah incroyable Taryn n’attendait que ça… Tu m’étonnes après que certains hommes osent dire que les femmes n’attendent que ça, quand on voit ce que véhiculent certains bouquins... *La Rageuse se tait* En bref : ce n’est pour moi définitivement pas la révélation de l’année, malgré son postulat assez originale. Les passages érotiques m’ont plus fait penser à des viols qu’à des scènes d’amour ou pour être ordurière comme peut l’être l’héroïne des scènes de baise…
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Mon Avis : Lu un peu au hasard, ce livre ne me donnait pas particulièrement envie. Au vu de la couverture du tome 3, je me disais « Mais où va l’édition Milady ? ». Je tente tout de même cette nouvelle série, en me disant qu’il vaut mieux l’avoir lu avant de me faire un avis – et puis on ne juge pas un livre à sa couverture ! L’héroïne, Jayné (ou le-prénom-imprononçable-que-seuls-quelques-élus-arrivent-à-dicter-parfaitement) Heller est une jeune femme (21 ans si je me souviens bien) et surtout une grande rebelle, elle a déjà dit adieu à ses parents, à ses amis et la fac quand on la rencontre. Son oncle vient de décéder et elle hérite d'une somme colossale et d'un héritage dont personne ne voudrait : une révélation sur le monde qu'elle pensait connaître. L'univers créé par l'auteur est intéressant, abordant les créatures connues, tels les vampires ou les loups-garous par un esprit plus "scientifique" puisque elles seraient issues d'un parasitisme. C'est plutôt bien trouvé et totalement nouveau pour moi. On s'éloigne de la bit-lit classique, moins dans l'érotisme et plus dans l'action, avec des personnages plus crédibles, car moins bad-ass que les récits du genre. Jayné est certes plongée dans un nouvel univers mais elle n'en décèle pas les codes immédiatement pour autant. Là c'est un des très bons points du récits. Les relations entre les différents personnages sont assez intrigantes, voire totalement floues dans certains cas. J'ai eu du mal à déterminer avec lequel des personnages l'héroïne allait le mieux s'entendre. J'ai également eu un petit peu de mal avec l'intrigue, avec ses moments de longueurs entrecoupées de scènes très violentes. Un méchant qu'on rencontre de loin, dont on a que peu d'informations, mais qui promet une montée en puissance dans les opus suivants... Au niveau de l'écriture c'est sans doute ce que j'ai trouvé le plus surprenant, le tout est un peu haché, moins fluide que ce qu'on a l'habitude de croiser dans ce genre de littérature. Après, je viens de me rendre compte que l'auteur n'était, non pas une femme, mais un homme, qu'on connait également sous le nom de Daniel Abraham. Soit, ne soyons pas sexiste... les hommes aussi écrivent de la bit-lit, mais ils ont une façon différente de traiter le sujet. Ici, ça se traduit surtout pas l'écriture moins stylisée, plus brute et par une création plus poussée de la mythologie des créatures surnaturelles. Sans parler de la façon dont il aborde son personnage principal, cette jeune femme un peu paumée. En bref : Un univers riche en nouveauté (malgré ses créatures déjà largement croisées), des personnages complexes, aux relations floues. Une intrigue toute aussi floue qui manque un peu de "lissage". Un homme au commande qui apporte son regard sur la bit-littérature, intéressant. Ça ne sera pas la lecture du siècle pour moi, mais un moment de détente apprécié.
Mon Avis : N’étant pas une fane de quatrième de couverture – certains le savent sans doute déjà – j’avoue avoir été largement surprise par le début de ce tome qui malgré le titre et le symbole (une rose) indiquait clairement que nous allions rencontrer les personnages de la Belle et la Bête. Pendant le premier tiers du roman ce n’est absolument pas le cas : l’on croise un chasseur, figure redondante et constamment présente dans chacun des livres de la saga, un prince naïf et qui ne recherche que les plaisirs de la vie, et une jeune fille vivant dans les bois avec sa mère-grand, vous l’aurez deviné, le petit Chaperon Rouge. Le postulat de départ est de faire grandir le prince, par le biais d’une aventure, afin qu’il soit le digne successeur de son père pour diriger le royaume… Le chasseur fait office de guide-protecteur-tête pensante du trio qui va se former. A ce moment arrive la bonne grosse surprise : une haie de ronces entour un château dont personne n’a eu de nouvelles depuis près de cent ans… Mon moment d’étonnements passé, l’auteure nous entraîne bien dans l’univers d’Aurore, la fameuse Belle au Bois Dormant. Mais bien entendu le cross-over ne s’arrête pas là, puisque la Belle qui dort bien depuis près d’un siècle est réveillé par le prince et qu’elle s’appelle non pas Aurore, mais Belle… Sans oublier qu’elle est la fille d’un roi mort empoisonné et d’une ondine (une sirène quoi, peut-être faut-il y retrouver Ariel ?). J’avoue que cette fusion de personnages d’univers différents est assez surprenante, mais la « mayonnaise » prend et je me suis retrouvée assez prise par l’histoire. En écrivant tout ça, je me demande si un lecteur qui n’a pas les références qui truffent littéralement cette saga appréciera l’entièreté de l’œuvre ? Mais en fait est-ce que cette personne peut réellement exister, une personne qui n’aurait jamais entendu parler ou vu les personnages de Disney et des contes de Grimm ou d’Anderson ? Passons… Dans Beauté, les personnages m’ont moins intéressé que dans les opus précédents, exception faite de Belle, dans son côté obscure, qui devient un personnage totalement « neuf » dont on ne peut pas prévoir les actions à l’avance, ce que j’ai fortement apprécié. La scène du deuxième bal prend une part belle à l’intérêt général que je peux porter au personnage, Belle se révélant une sorte de Comtesse Bathory, permettant encore à l’auteure de faire des références extérieures aux contes. Petra, aka le Chaperon rouge, est un personnage assez effacé qui ne permet que la pirouette finale, elle est également une excuse pour inclure une amourette. Du côté du chasseur, on a beau le suivre la plupart du temps, il a l’air complètement détaché de ce qui l’entoure, même quand il couche avec une servante et qu’elle décède peu de temps après, ça ne l’atteint finalement pas plus que ça… Pour moi, il est l’exemple type du gars embauché pour effectuer un travail et qui finalement ne s’en tiendra qu’à ça. Le prince n’en parlons même pas. Le tout, étonnement, est quand même prenant. Je pense que je me suis intéressée à l’histoire surtout pour voir ce que Sarah Pinborough allait faire de ces personnages populaires. L’intrigue est finalement plus poussée et plus sombres encore que les deux opus précédents, et semble mieux maîtrisée. J’aurai juste à reprocher la fin, trop vite embarquée, trop vite proposé et manquant un peu de profondeur – mais cette lecture s’y prête-t-elle seulement ? En bref : Une lecture de détente qui aura fait son office, une bonne surprise aux niveaux des cross-over réalisé dans cet opus, mais des personnages encore trop superficiels…
Mon Avis : Pas particulièrement convaincue par le dernier tome de la série, j'ai mis un peu de temps à me plonger une huitième fois dans l'univers foisonnant de Nalini Singh. Et autant vous dire que j'ai mis du temps à rédiger cette chronique... Dans les premiers livres de la série j'aimais bien les couples qui se formaient, un Psi avec un pouvoir spécifique et un changeling, qu'il soit léopard ou loup ou encore jaguar qu'importe, le côté animal était sympa. Mais c'est vrai qu'à force ça devient un peu lassant... Nalini Singh évite à son lecteur cet essoufflement, que j'ai pu ressentir dans les séries comme Minuit ou Les Gardiens de l'Eternité, en changeant les origines des personnages. Ce coup-ci point de changeling, un "simple" humain fera son office de blindage de testostérone. Du côté féminin, nous avons une Psi, qui comme pour les autres, est proche du non retour. (Là ça commence à être redondant, beaucoup...) L'intrigue principale est plutôt bien fichue même si on pourrait reprocher des similitudes avec des tomes antérieurs, les personnages sont intéressants, je reprocherai cependant la ficelle très grosse que sort l'auteur pour ajouter un nouveau personnage en fin de livre... Gageons qu'il aura sa propre histoire sous peu... ! Mais comme pour le reste de la série, il y a un je-ne-sais-quoi qui me pousse à continuer ma lecture, peut-être de retrouver des personnages marquants des tomes précédents ? Peut-être de voir que certains des personnages, qu'on pensait irrécupérables, évoluent ? Ou bien l'histoire fil rouge, entre le gardien noir du net et le gardien blanc ? En bref : Une série qui se renouvelle dans la forme (les personnages changent, ainsi que leurs caractéristiques) mais moins dans le fond... Cependant ces lectures restent des lectures prenantes que je poursuivrais donc.
Charme de Sarah Pinborough
J'ai été beaucoup plus charmée (héhé) par ce second volet, que par le premier, empoisonnant... (je m'arrête là, promis !) Je ne reparlerai pas de la couverture et des illustrations, toujours autant appréciées. Le premier bon point, c'est que Sarah Pinborough part du conte original - avec ses éléments déjà bien trash, et pas de l'histoire relaté par l'éminent Walt ... Ensuite j'aime bien l'idée de lier les contes entre eux, à l'instar de Once Upon a Time qui le fait déjà très bien, ici, ça marche bien aussi. On pourra donc y croiser Robin et quelques personnages du tome précédent. Dans ce second volet, l'héroïne, Cendrillon, est obsédée par l'idée de se marier avec un prince. Désir viscéral que partage sa belle-mère, la fameuse marâtre, qui perd de sa cruauté dans ce récit. Les personnages sont bien moins odieux que dans Poison, ce qui justifie sans doute mon ressenti final ; cependant certains passages font largement soupirer de désespoir devant tant de naïveté .... Car Cendrillon n'est rien de moins que ça, très naïve. Du côté des personnages secondaires, j'ai bien accroché avec Rose, la belle-sœur de Cendrillon ainsi qu'avec le rat et le chasseur, si attendrissants et vifs. Et étonnement les scènes osées entre les différents personnages m'ont moins gêné (sans doute parce que je m'y attendais), et paraissent plus à leur place ... La scène de fin m'a vraiment surprise, ce n'est pas le souvenir que j'en avais du premier tome ... mais ma lecture remonte à quelques mois et j'ai eu le temps de lire d'autres choses depuis. Je pense me laisser tenter par le troisième et dernier tome, pour voir si l'adaptation de la Belle et Bête par Sarah Pinborough sera aussi mitigée que les deux premiers volumes ! Challenges :Charley Davidson, tome 2 : Deuxième Tombe sur la Gauche de Darynda Jones
Mon Avis : J'avais franchement bien aimé le premier tome de la série : entre nous ça dépoussiérait un genre qui commençait sérieusement à m'ennuyer. Point de vampire, ni de loup-garous, pas la moindre trace de zombie, seulement des fantômes ... et des démons ... A quant l'apparition des anges ? J'avoue redouter un peu la suite des aventures de Charley, car Darinda Jones place la barre très haut avec ses deux premiers opus ! Une semaine après les événements survenus dans le premier opus, on retrouve Charley dans de folles aventures et avec non pas une, pas deux mais bien trois enquêtes en parallèles ... de quoi se perdre par moment, mais l'histoire est tellement bien ficelée que l'on arrive très bien à suivre ! J'ai adoré retrouver cette héroïne au ton mordant, ainsi que Cookie sa fidèle secrétaire. Et puis quitte à avoir du beau gosse, Reyes a de quoi intriguer encore plus avec de sacrés révélations ! De quoi rester la mâchoire par terre quelques fois. Par contre si j'avais quelques trucs à reprocher à l'auteur c'est bien ça : la répétition constante. "Je ramassais ma mâchoire par terre" au moins quatre fois si ce n'est plus, à terme ça énerve ... Cependant je la remercie aussi de pas tomber dans le cliché de la belle qui malgré un caractère fort, va se laisser faire changer d'avis par du sexe avec un beau gosse ... J'avoue avoir soufflé dans ce tome-ci, car ces scènes sont plus qu'exécrable quand elles ne sont pas réellement justifiées ... ! Challenges :Requiem pour Sascha, tome 1 : Lacrimosa d'Alice Scarling
Enfin une trilogie « bit-lit » à la française ! Il doit sans doute déjà en exister mais je suis incapable d’en citer. Requiem pour Sascha, c’est l’histoire un peu atypique d’une chanteuse de Death Metal, qui a le pouvoir de posséder, par un simple contact, le corps de n’importe qui. Alors au lieu de fuir ce pouvoir qui pourrait effrayer n’importe qui, elle s’en sert pour dépouiller les crétins de boîte … et tuer quelques vampires. Outre ses pouvoirs et son activité nocturne, Sascha est un vrai bon personnage, juste ce qu'il faut de bad-assitude et de sensiblerie. Je lui reprocherai peut-être sa trop grande facilité à verser sa larme dans n'importe quelle situation ... Au gré de la présence de Sascha, on suit son entourage Nicolas, Damien, Julien, Raphaël etc. le monde entourant la jeune femme n’ai composé que d’hommes … de préférence bien bâtis … Tout cela se passe à Paris, chose suffisamment rare pour être soulignée. Après avoir lu « Chasseuse de Vampires » de Nalini Singh, qui présente sensiblement les mêmes éléments, j’avoue ne pas avoir trouvé cela très original. Mis à part cette idée de possession de corps, le reste de l’intrigue reste somme toute bien classique : des vampires, des anges, l’enfer … Cependant ces quelques nouveautés suffisent amplement à intriguer et intéresser. En témoigne la rapidité à laquelle j’ai fini ce premier tome (~3h …) ! En bref : malgré quelques poncifs du genre, Lacrimosa est un premier tome intéressant, qui pose de bonnes bases et qui laisse présager une suite palpitante ... Affaire à suivre ! Les Sœurs de la Lune, tome 1 : Witchling de Yasmine Galenorn
Oui vous avez bien lu, si jusqu'alors j'ai été pour la plupart du temps séduite par les séries publiées chez Milady, je dois avouer que ce coup-ci, j'ai un peu loupé le coche. Le pitch était pourtant aguichant : trois sœurs de sang-mêlés (mi-Sidhe, mi-humaine) avec des pouvoirs différents (Vampire, Chat-Garou et Sorcière) œuvrent pour l'Outremonde en territoire humain. En fait elles chassent les démons sur Terre, parce qu'elles ne sont pas bien perçu en Outremonde. Le hic se pose là : le personnage principal que l'on suit dans ce premier tome est Camille, la sœur sorcière et de loin l'héroïne la plus superficielle que j'ai pu croisé dans le genre. Et pourtant je pense en avoir lu quelques-uns ... A contrario d'une Paige dans Femmes de l'Autremonde de Kelley Armstrong, Camille pense à la lingerie qui ferait chavirer le cœur (ou tout autre organe masculin) de son Svartran (comprenez elfe noir) de petit ami, tout en se demandant ce que penserait tel autre personnage masculin rencontrer il n'y a pas 5 minutes ... Tiens justement en parlant de personnages masculins : bon sang que de clichés ! Chase le premier et seul humain de la joyeuse troupe en pince pour Camille depuis qu'il l'a rencontré - à chaque fois ça ne loupe pas l'humain benêt à le nez dans le décolleté de la donzelle. Mais d'un coup d'un seul, monsieur se désintéresse de la sorcière pour se faire [SPOILER] sa petite sœur garou[/SPOILER]. Trillian est pas mal non plus dans le genre, censé couché à droite à gauche sans jamais se fixer, il revient en courant dans les bras de la plantureuse Camille (oui, oui encore). Il y a également le Kitsune, enfin un personnage intéressant mais qui malheureusement fait pâle figure face au Kitsune de Richelle Mead dans sa série Cygne Noir ... Pour finir, le dernier mâle à apparaitre dans ce livre est Flam, qui à mon goût est de loin le plus intéressant. Mais une fois de plus "l'héroïne" vient gâcher un peu tout ça quand tout à coup on lit ça : "Comme je m'arrêtais net, Flam me rentra dedans. Même si je sentis sa main sur mes fesses, je n'avais pas le temps de le repousser." Magique non ? Perso ça m'a un peu casser dans mon élan de sympathie pour l'ensemble du bouquin. Parce que oui : tout n'est pas à jeter aux orties non plus ... La trame principale, une quête pour sauver les deux pays (outremondien et terrien) a déjà par de nombreuses fois fait ses preuves. Camille m'a certes passablement énervé mais Delilah et plus particulièrement Menolly semblent plus intéressantes et moins aberrantes ! J'ai la suite sur mes étagères et heureusement que l'on change d'héroïne dans le prochain opus, sinon je pense que je n'aurais pas poursuivi cette lecture. Challenges :Les Bannis et les Proscrits, tome 1 : Le Feu de la Sor'cière de James Clemens Quatrième de couv' : Par une nuit fatale à Alasea, pays ravagé par une malédiction, trois mages accomplissent un ultime sacrifice dans l'espoir de préserver le bien. Cinq cents ans jour pour jour après cette nuit funeste, une jeune fille hérite d'un pouvoir perdu depuis longtemps. Mais avant qu'elle puisse en saisir les implications, le Seigneur Noir lance ses hordes des ténèbres pour s'emparer de la magie embryonnaire qu'elle détient. Dans sa fuite, Elena est précipitée vers une issue terrible... mais aussi vers la compagnie d'alliés inattendus, avec lesquels elle va tenter de combattre les forces maléfiques et de secourir un empire autrefois glorieux. Mon Avis : Dans le cadre de différents challenges et puisque la série traînait dans ma PAL depuis un bout de temps non négligeable, il était plus que l'heure de me lancer dans la lecture de ce premier tome. J'avais déjà essayé d'entamer la lecture de ce premier tome juste après son achat, mais après une trentaine de pages, la confusion était telle que j'avais abandonné ma lecture, lui préférant des ouvrages plus simples et abordables ... Ce coup-ci, je suis allée bien au delà de cette pseudo barrière d'incompréhension. Le début resta un peu flou au départ : un récit dans un récit où l'on fait référence à un vieux grimoire, une vieille légende ... J'arrive déjà à me perdre ! Mais passé le prologue, la "vraie" histoire démarre. On rencontre Elena, une jeune fille de fermier, occupée à ramasser des pommes dans le verger en compagnie de son grand frère Joach. Son panier plein, il décide de rentrer tandis qu'Elena s'accorde encore quelques instants, ayant repéré une pomme d'un rouge flamboyant ... Tandis qu'elle s'escrime à arracher la pomme de la branche récalcitrante, deux phénomènes surviennent : ses premières règles (... super le début de roman !) et sa main disparaît, pour réapparaître l'instant d'après. C'est le début d'une fuite de notre héroïne pourchassée par deux êtres ignobles et dont elle ne sait rien. Les pouvoirs de la jeune Elena se manifeste sans qu'elle n'est rien déclenché/réclamé. Heureusement elle ne sera pas seule dans cette fuite, d'autres personnages viennent lui porter secours, l'aider à se débarrasser des méchants. Er'ril, un homme (ancien mage ?) vieux de plus de 500 ans va croiser son chemin. Leur rencontre promet d'être très intéressante à tous les deux, j'ai hâte de voir quel genre de relation ils auront ... Les autres personnages formant une diversité de créature assez impressionnante, sont tout aussi appréciable : de l'og're, au métamorphes, en passant par l'el'phe et la niphaï. James Clemens a décidé de changer les noms des espèces pour agrémenter son roman de touches "exotiques", cela n'a pas vraiment gêné ma lecture, mais employer les noms "communs" auraient très bien pu passer, la sor'cière pouvait très bien être une sorcière ... L'histoire est intéressante, promet une jolie quête, mais ne révolutionne pas non plus le genre, les tomes suivants sont déjà dans ma PAL... Affaire à suivre ! Les Challenges :Les Cavaliers de l'Apocalypse, tome 1 : Guerre de Larissa Ione
Mon Avis : Après une première série qui m'avait fait grand effet, retrouver le monde créé par Larissa Ione fut un réel plaisir. Dans ce premier opus des Cavaliers de l'Apocalypse, on rencontre Guerre, de son vrai nom Ares, homme grand, beau et viril ... Et puis face à lui une jeune humaine, qui n'a rien demandé à personne, Cara. Elle est entraîné dans le merveilleux monde démoniaque malgré elle : un jeune dépose chez elle un chien qui à renverser. Ce qu'ils ne savent pas, c'est que ce chien est en réalité un chien des Enfers ... Autrement dit Cara est dans de sales draps ! Arrive ce qui arrive : Cara et Ares se rencontrent, un désir intense, une envie folle de se jeter l'un sur l'autre, etc. Bref Les Cavaliers de l'Apocalypse reste de la Bit-Lit à l'histoire aménagée dans un univers plus étendue qu'uniquement vampires/loups-garous/humains. Non ce que j'ai vraiment apprécié dans cette lecture, c'est toutes les autres créatures présentées qui composent cette univers si particulier. On retrouve les personnages de la série principale - si je puis dire (la compréhension de ce tome-ci est tout à fait possible sans avoir lu les 5 tomes de Démonica) - à l'accouchement de Gem, avec un Kynan anxieux et père poule avant l'heure (ils restent mon couple favori, même s'ils ne font pas l'objet d'un tome à part entière). Retrouver également Eidolon, Wraith et Shade fut un petit bonus fort appréciable. Challenge : |
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