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Madeleine #1 - The Princess Bride

27/12/2020

2 Commentaires

 
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Monument de mon enfance et de mon adolescence, je voue un véritable culte à ce film. Il faut dire que mon amour pour Cary Elwes m'avait tout de même poussée jusqu'à voir et apprécier le nom moins culte Sacré Robin des Bois (dont le titre ne rend décemment pas hommage à la version originale : Robin Hood: Men in Tights). Le propos n'est pas là, je vous parle de ma première madeleine, celle qui fait chavirer mon petit cœur de midinette et qui me fait dire que Robin Wright est classe quoiqu'elle entreprenne. 
​
Synopsis : Que peut bien faire un petit garçon cloué au lit par la grippe, condamné à écouter les conseils des grands et même de subir un grand-père rabat-joie, au lieu d’aller faire les quatre cents coups avec ses copains ?
Et voilà en plus que le papay se met en tête de lire à haute voix un conte de fée aux antipodes de Superman et de Rambo !
Au Moyen-Age, dans le pays imaginaire de Florin, la belle Bouton d’Or se languit après le départ de son bien-aimé Westley, parti chercher fortune et qu’elle croit mort. Cinq ans plus tard, elle accepte d’épouser le prince Humperdinck pour qui elle n’éprouve aucun amour. Mais peu avant son mariage, elle est enlevée par trois bandits et entraînée dans une aventure mouvementée au cours de laquelle elle retrouvera sa raison de vivre…

1986, quatorze ans après la sortie de livre de William Golding, l'adaptation de Rob Reiner (Quand Harry Rencontre Sally) et tout de même scénarisé par l'auteur lui-même, sera distribuée par la 20th Century Fox. Je ne suis pas encore née, et pourtant ce film a marqué mon enfance.

Pour l'époque, le casting n'est guère impressionnant.
Cary Elwes n'est pas particulièrement connu avant de jouer Westley. Il commence tout juste à avoir une petite notoriété. Carrière qui se poursuit encore de nos jours mais dont les rôles sont classés la plupart du temps en second plan et ne marque malheureusement pas les mémoires. 
Robin Wright signe avec Princess Bride, l'un de ses premiers films, elle incarne Bouton d'Or, une fille du peuple destinée à être reine. 
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Quant à Mandy Patinkin, qui interprète Inigo Montoya, il avait été très remarqué dans Yentl aux côtés de Barbara Streisand. Plus récemment il connait un certain succès dans les séries tv, tel que Esprits Criminels (l'agent Gideon dans les trois premières saisons) ou encore Homeland ou il campe le rôle de Saul Berenson.
Peter Falk est aussi au générique de Princess Bride étant le narrateur de l'intrigue. Il est déjà connu à l'époque comme étant Columbo et sera d'ailleurs toute sa vie cantonné à ce rôle là.

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Alors je ne sais pas quand, ni comment je me suis retrouvée à regarder ce film. Mes parents n'étant pas particulièrement héroic fantasy, j'ai pourtant dû voir ce film ainsi que Willow une bonne centaine de fois, la VHS en ayant pâtit à la longue. 

Et contrairement à Willow, The Princess Bride a plutôt bien vieilli. L'absence de créatures surnaturelles (mis à part un rat géant et une pseudo anguille) sans doute. Et son esthétique pour un film des années 80, n'a pas perdu de son charme. Pas d'effets spéciaux, pas de post-prod numérique qui vont enlever je ne sais quel cable du champ, etc. Les costumes, les accessoires, les décors sont travaillés à la main par des gens qui se sont donnés corps et âmes pour rendre le tout esthétiquement agréable. 
Et puis il faut dire que Princess Bride, ce n'est pas seulement une histoire d'amour, car il faut bien accrocher un jeune garçon qui est habitué aux jeux vidéos (interprété par Fred Savage). Donc outre la comédie romantique on a là un véritable film d'aventures, tirant vers le "capes et d'épées". Et la dimension comique donné au film est particulièrement saisissante, maintenant que je l'ai revu avec mes yeux d'adulte. 

Le scénario quant à lui, n'est pas ce qu'il y a de plus folichon... Un peu trop léger dirons certains, il n'est finalement que prétexte à explorer les lieux fantastiques créés de toutes pièces par William Golding. 

En Bref : une pépite qui n'a pas mal vieilli, qui se regarde encore avec délectation 30 ans plus tard...
2 Commentaires
Lune link
26/1/2021 16:57:14

Excellent, également un film de mon enfance que j'adore ! Et le roman est super

Réponse
Amarüel link
28/1/2021 10:34:10

En écrivant la chronique je me suis vraiment dit qu'il s'agissait d'une madeleine de Proust (et que j'avais envie de revoir Willow) :)

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