Passages secrets de Boriau et Goum Le Topo : Le Maire de la ville décide de mettre la main basse sur un quartier et son hôtel mythique pour assouvir sa soif immobilière et financière. Une bande de gamins débrouillards se mettent en tête de déjouer les plans du gros maire, jouant avec les mythes portés par cet endroit truffé de passages secrets… Mon Avis : Attention BD avec un surplus d'énergie ! Zach emménage dans un immeuble dont les habitants sont plutôt étonnants : un artiste, un concierge un peu bourru et bien entendu d'autres enfants. Enfin une fratrie tout ce qu'il y a de plus normale : chamailleries et rigolades sont de mises. Un petit gars à la langue bien pendu, une jeune ado folle de l'artiste de l'immeuble et la petite dernière qui est là et suit pensant que tout est un jeu. Des personnages drôles et attachants à la fois. Les méchants ne sont pas en reste, très caricaturaux, on repère très facilement qui est qui. Côté scénario : Des enfants qui essayent de déjouer les plans des méchants, il faut le dire, on a déjà vu. Mais des lutins qui défendent une ville entière, c'était du tout neuf pour moi. Les flash-back sur la seconde guerre mondiale permettent de re-contextualiser les événements qui ont fait apparaître les lutins et j'ai bien apprécié. Un petit bémol : le langage grossier des enfants, trop fréquent à mon goût, surtout "FAISCHIER" utiliser à tour de bras car permettant de contrôler un robot ... Ce qui est top avec cette BD c'est qu'à chaque moment j'avais l'impression d'assister à un dessin animé. Et une fois refermée, je me suis définitivement dit qu'elle en ferait un bon. Cela est surtout dû à la technique de dessin, très cartoonesque, qui permet une impression de mouvement des personnages. Coup de cœur pour le personnage de Natalia, la petite sœur à la traîne qui recherche son rat ...
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Pills d'Antoine Ozanam et Guillaume Singelin Le Topo : Emma, une étudiante en journalisme doit réaliser un travail de fond sur un sujet au choix, et elle a choisi les STUCE : Stupéfiants Tolérés à Usage Contrôlé par l'État. Dans le monde d'Emma, la cigarette a été interdite et les stupéfiants ont été légalisé, mais point de psychotrope actuel, non les dopants que prennent les jeunes dans ce monde-ci ne font pas que donner des hallu : transport astral, changement de sexe et autres pouvoirs étranges seront au rendez-vous. Emma teste tout ce qu'elle peut trouver, jusqu'au jour où elle assiste à un meurtre ... Et le hic c'est que le tueur est à ses trousses ! Mon Avis : Le monde proposé par Ozanam et Singelin est assez étrange je dois bien l'avouer. Quand j'ai ouvert le livre sur la première planche de cette BD, je pensais que j'assistais au suicide de l'héroïne. Mais je me suis rendu compte de mon erreur quelques pages plus loin. Loin de toutes envies de suicide, l'héroïne a plutôt envie de se sentir vivante. Elle teste toutes sortes de stupéfiants aux effets étranges, et se retrouve malgré elle dans une autre partie de la ville après avoir testé les Diamond Dogs (qui ont pour effet de permettre à l'usager de s'envoler). Même si j'ai -je dois l'avouer - eut un peu de mal au début de cette BD, j'ai finalement apprécié le tout, à partir du moment où Emma assiste au meurtre. Elle est alors sous Effervescing Elephant, et elle a intégré le corps de quelqu'un d'autre. À partir de ce moment plus rien ne va, et nos 4 protagonistes (oui en plus d'Emma, il y a Alice, Medhi et Elmer) vont tout faire pour se sortir de ce pétrin. Côté dessin, si au départ j'ai eu un peu de mal, par manque d'habitude, je me suis faite au tracé de Singelin. Les couleurs sont tantôt vives tantôt sombres - en fonction de l'état de nos héros. Le petit plus côté couleur : la scène de plage que j'ai vraiment adorée (mélange d'orange de mauve et de turquoise ...). Le petit bémol : la planche de fin, qui ne sert qu'à nous embrouiller et qui n'a pas vraiment d'utilité (enfin à mon goût). Le Scorpion, tome 2 : Le Secret du Pape de Marini et Desberg Le Topo : La vérité est en marche. Le Scorpion a bien l'intention de la faire éclater. Et tant pis si certains intérêts hauts placés risquent de s'en trouver éclaboussés… Mais le Scorpion a quelques soucis. Méjaï, brune venimeuse, est toujours décidée à tester sur lui quelques-uns des poisons mortels dont elle a le secret. Elle ne fait qu'obéir au redoutable Cardinal Trebaldi, âme damnée des neuf familles déterminées à conserver à tout prix leur pouvoir. Mon Avis : Après le premier tome, mon avis était assez mitigé, le dessin ne m'avait pas entièrement séduit et l'intrigue était trop historique à mon goût. Dans ce deuxième opus, mon avis devient un peu plus assuré. J'ai été vache avec le dessin dans ma première chronique, mais je trouve les planches du nouvel opus un peu plus abouti ... Le lissage est devenu moins sage mais les couleurs restent cependant bien vives, donnant parfois des planches étonnantes avec des touches de rouges dans un paysage verdâtre. Pour l'intrigue, j'ai été surprise, agréablement, d'entrevoir les origines de Scorpion, le "procès" de sa mère, comment il a failli mourir noyé ... La continuité du premier tome (dans l'intrigue) est bien au rendez-vous, les révélations sont plus qu'étonnantes, et je m'inquiète de voir un essoufflement des dites révélations. Le personnage secondaire appelé Hussard par Scorpion est à la fois drôle et pathétique et me fait penser au binôme formé par Zorro et le capitaine rondouillard qui essaye constamment de l'attraper. J'ai hâte de voir Méjaï prendre plus d'importance car je sens en elle un certain potentiel et un potentiel certain. Je continuerai donc la série qui s'annonce prometteuse. Le Scorpion, tome 1 : La Marque du Diable de Marini et Desberg Le Topo : Pour les habitants de la basse ville, il est le Scorpion. Les hommes l’évitent, redoutant son épée. Les femmes le cherchent, fascinées par la prestance de ce beau brun. Pour les habitants de la haute ville, il est Armando Catalano, l’homme à la perruque poudrée qui sait dénicher aux fins fonds des catacombes romaines les reliques des saints de l’antiquité et du Moyen âge. Pour le cardinal Trebaldi, l’impitoyable maître des moines-guerriers, il est le témoin d’une époque maudite qui doit disparaître. Mon Avis : Je ne m'étais jamais laissée tenter par cette BD et après un cours sur ce thème et un conseil du prof, j'ai essayé. Ce premier tome m'a très fortement fait penser au jeu Assassin's Credd, et surtout au second opus qui se déroule en Italie (Rome/Venise/...). Ici on retrouve le même ton, les mêmes cascades (le héros déambule lui aussi sur les toits romains). Le Scorpion, puisque c'est le seul réel nom qu'on nous fournit pour le moment, est pourchassé par une jeune égyptienne, adepte des poisons, lancée à ses trousses par le Cardinal, mais notre héros ne l'entend pas de cette oreille et décide de rencontrer le Cardinal en personne. Honnêtement, si je n'étais pas une fan du jeu vidéo, je pense que je n'aurai pas vraiment accroché à la série Le Scorpion, ou tout du moins à l'intrigue. Côté dessin : Je ne suis pas très fan du tracé d'Enrico Marini tout simplement parce que je le trouve trop lisse. Et tout particulièrement sur les personnages, mais au-delà de ça, le décor et le soin qui sont apportés aux détails est vraiment génial (par exemple sur l'image la cascade du Scorpion dans la 3ème bulle, le rendu est vraiment très bon). Le côté historique n'a jamais été réellement mon truc et surtout en BD, mais là j'ai passé un bon moment, alors je vais tenter la suite ... La Belle Mort de Mathieu Bablet Le Topo : La fin de l'humanité a eu lieu. Les insectes venus de l'espace infini sont maintenant les maîtres de la terre. À quoi bon résister ? Voilà ce que se répètent jour après jour Wayne, Jeremiah et Soham, uniques survivants de l'invasion dévastatrice. Cherchant un but, une destinée justifiant leur futile présence dans un monde en ruine, ils ne se doutent pas qu'ils font partie d'un plan bien plus vaste, quelque chose qui les dépasse complètement et qui implique un autre survivant… Mon Avis : Je ne sais par où commencer ... Avant de lire La Belle Mort, j'avais déjà lu Adrastée un diptyque fantastique du jeune Bablet. Je n'ai point hésité quand cet opus ci c'est présenté à moi. La Belle Mort c'est une sorte de croisement entre "Je suis une légende", "Walking Dead" et "1001 pattes" avec un côté décalé et un peu sombre qui est propre à l'auteur. Le rendu de ce mélange étrange est aussi beau que touchant. Nos trois protagonistes sont en prises avec des fantômes du passé, leur errance n'aboutissant à rien, ils ne font que ressasser un monde qui n'est plus. Et pourtant on assiste à une évolution des personnages (je pense surtout à Soham). Outre l'histoire, il est impensable que je ne vous parle pas des illustrations. Mathieu Bablet nous fait évoluer dans un univers post-apocalyptique à l'esthétique bien singulière. Tout y est très anguleux : des immeubles, aux personnages en passant par les insectes. Ce tracé bien spécifique à un rendu sublime et donne un côté un peu mystique à la BD (enfin de mon point de vue). Côté couleur, les planches proposées sont dans des tons sombres, la couleur vive en est quasiment bannie. Ce qui me plait le plus, c'est l'homogénéité des couleurs sur les deux pages qui se suivent, et la surprise de couleur que l'on peu avoir en tournant la page. L'épilogue de 150 ans plus tard est fascinant, tant par le questionnement que le lecteur se pose que par l'esthétique que nous offre Bablet du monde futur. Chapeau l'artiste ! Okko, tome 1 : Le Cycle de l'Eau, partie 1 de Hub Le Topo : An 1108 du calendrier officiel de l'empire du Pajan. En cette période tumultueuse, les clans majeurs s'entre-déchirent depuis des décennies pour s'emparer du pouvoir. Loin des champs de bataille, Okko, le rônin sans maître, est à la tête d'un petit groupe de chasseurs de démons et arpente ainsi les terres de l'empire. Il est accompagné de Noburo, singulier géant qui cache son identité derrière un masque rouge, et du moine Noshin, bonze fantasque et grand amateur de saké. Ce dernier a la faculté d'invoquer et de communiquer avec les forces de la nature. Tikku, jeune pêcheur, va faire appel à Okko pour retrouver Petite Carpe, sa sœur enlevée par une horde de pirates. Mais une telle mission a un prix... Elle entraînera les quatre aventuriers bien plus loin qu'ils ne l'avaient imaginés... Mon Avis : Mon quota BD augmente, augmente. Avec Okko, je me plonge dans une série qui me fait de l'oeil depuis quelque temps. Je suis happée par les dessins, à peine la première page tournée. Graphiquement : c'est beau, scénaristiquement : c'est plutôt bon. J'embarque pour une quête qui promet d'être longue, avec des découvertes intéressantes et des combats sanglants. Après échange SMSial avec ma copine, Chikon, elle me fait remarquer qu'une certaine scène est assez trash et qu'elle n'est pas indispensable au déroulement de l'intrigue. Donc je m'y suis replongée pour voir si elle avait raison : au final, ma deuxième lecture me penche à penser la même chose que *la poulette*(elle est très sanglante), mais aussi que sans cette scène on s'inquièterait moins pour Petite Carpe. Pour en revenir plus à cette BD, les héros que nous suivrons dans cette aventure sont assez atypique (un guerrier qui ne montre pas son visage et qui est VRAIMENT trop fort, un moine accro au saké, un petit garçon qui va devoir leur faire à manger, et le chef, dont on ne sait pas grand-chose pour le moment), mais reste un groupe qui part en quête donc rien de très neuf sous le soleil. Premier tome de cette série qui m'a beaucoup plus, on verra pour la suite ! Joséphine, tome 1 de Pénélope Bagieu Quatrième de couv' : Joséphine (oui bon c'était une blague ...) Le topo : Joséphine a "la trentaine", comme elle dit pudiquement. Elle n'est pas mariée, n'a pas d'enfant, mais elle a un chat. Elle est blonde et menue, mais s'épaissit sensiblement au niveau des hanches. Elle travaille dans un bureau, avec plein de gens qui ne connaissent pas son nom, et un macho abject dont elle ne parvient pas à clouer le bec. Elle a aussi une soeur qui est mariée, et a des enfants blonds, souriants et polis plein sa grande maison. Elle a des parents qui n'habitent pas la même ville mais qui réussissent à l'envahir et à la culpabiliser par téléphone. Elle a des copines mais aucune n'arrive à la cheville de Rose, sa meilleure amie, solidaire de ses misères quotidiennes. Elle est terriblement fleur bleue et ne désespère pas de rencontrer l'homme idéal, ce à quoi elle s'emploie activement (bars, salles de gym, clubs d'oenologie, Meetic...). En attendant, elle pleure devant les films à l'eau de rose. Joséphine a des tas de malheurs dont elle est bien souvent à l'origine : elle est maladroite, ne gère pas très bien ses relations professionnelles, peine à se faire entendre, fait des gaffes assez embarrassantes, et enchaîne les faux-pas dans sa vie amoureuse. Elle est en quelque sorte l'artisan de son propre malheur, mais veille à ne surtout jamais tirer de leçons de ce qui lui tombe dessus. Mon Avis : Pour tout vous dire, j'ai d'abord vu le film éponyme, avant de me lancer dans la lecture de ce premier volet. "Cette petite BD est bien sympathique", c'est ce que je me dis aussitôt que je referme le dit livre. Comme certain auront pu le constater, ce genre de BD ne fait pas vraiment partie de mon univers, mais j'ai passé un agréable moment : un bon point ! Les dessins sont dans l'air du temps, pas une grande révolution, et pas minimaliste non plus, simple (mais ça reste mon avis). Drôle dans l'ensemble, je me suis cependant lassée assez rapidement de cette héroïne qui ne fait que se plaindre, et qui ne prend absolument pas les devants. Le film m'avait un peu soulé à la longue également. Je tiens à rappeler que ce n'est tout simplement pas ma came ! Finalement : Assez drôle, ne manque pas d'esthétique (les couleurs et les dessins sont agréables) et il y a forcément une de ces situations qui nous rappèlerons quelque chose ! Mais héroïne à mettre sous anxiolytique ... Rouge, tome 2 : Ma douce enfant de Florent Maudoux et Sourya Sihachakr Quatrième de couv' : "C'était il y a 15 ans... Il pleuvait à verse, une femme est venue déposer un bébé, une petite fille ... Cette fille, c'était mademoiselle Xiong Mao. Et je me souviens d'un détail sur la femme : elle avait un grain de beauté sous l'oeil." Mon Avis : Et oui en avant première, le tome 2 de la série spin-off de Freaks' Squeele : Rouge. Etant allée à Angoulême pour le festoch' de BD, je me suis ruée sur le stand Ankama et petit miracle : le tome 2 nous était proposé ! Comme vous pouvez le constaster, contrairement au premier tome, la couv' est bleue et non rouge ... (Le nom semble bizarre du coup, non ?) Je me suis replongée dans le passé de Xiong Mao avec facilité, le premier m'avait surpris par ses graphismes (cf, Article sur le premier tome), mais en ouvrant ce second opus, je me suis surprise à apprécier retrouver le tracé de Sourya. L'histoire est toujours aussi bonne ! Je dois avouer que découvrir plus en détail le passé de la mère de Petit-Panda est très agréable (je n'ai malheureusement pas encore lu le premier volume de Doggybags ...). Je spoile, je spoile pas, je spoile ... Je spoile : Voir Fei Long en fille, tordant ! Je suis devenue plus intéressée par Sélène, ce personnage prend de l'ampleur et son pouvoir apporte un plus au personnage et à son lien avec Xiong Mao. Très bon deuxième tome, hâte de voir la suite (dans combien de temps !?), je dois avoué que je suis moins enthousiasmée par ce spin-off que celui de Funérailles, non pas pour la moins bonne qualité mais tout simplement parce que je suis fan de l'autre personnage ! Coeur de Pierre de Séverine Gauthier & Jérémie Almanza Quatrième de couv' : Le jour où la petite fille au coeur d'artichaut rencontre le garçon au coeur de pierre, elle tombe éperdument amoureuse de lui. Dès lors, elle lui offre chaque jour une feuille de son coeur que chaque jour celui-ci rejette plus méchamment. Le coeur de la petite fille se rétrécit et bientôt elle perd sa joie de vivre. Visiblement, le garçon au coeur de pierre ne semble pas du tout prêt à se laisser aimer... Mon Avis : Grâce à mon amie (qui d'ailleurs pour l'imminence de l'évènement du salon de la BD d'Angoulème propose une critiques par jours jusqu'à l'évènement), j'ai pu lire cette BD destinée à la jeunesse. Les dessins sont très beaux, "très choux". Pour ce qui est des textes je les ai trouvé poétiques. Le message global peut plaire aussi bien aux enfants, qu'aux adultes, si ce n'est plus puisque à mon sens la compréhension globale peut faire écho à bon nombre de personnes. Je voudrais juste soulever un point, j'ai trouvé au départ que l'histoire faisait de nombreux échos à l'histoire de Mathieu Malzieu (La Mécanique du Coeur, qui d'ailleurs sort bientôt au cinéma). Histoire très agréable, qui m'a fait passé un très bon moment, même s'il fut très court (une trentaine de pages) ... Freaks' Squeele : Rouge, tome 1 de Florent Maudoux Quatrième de couv' : "-Tu sais ma fille, une lame est en quelque sorte comme une déesse de la mort. N'oublie jamais qui elle est. Traite-la, ne serait-ce qu'un instant, avec légèreté et mépris... et tu risquerais d'y laisser un doigt. Mais si tu la tiens avec respect, si tu sais en prendre soin... alors elle peut devenir ta meilleure alliée. Une bonne lame ne te trahira jamais. - Alors les lames sont meilleures que les gens ? Mon Avis : J'ai été bien surprise de découvrir en ouvrant ce tome-ci, que les graphismes étaient bien différents de la série principale. En effet, ceux-ci n'ont pas été réalisés par Florent Maudoux, mais par Sourya.. Bon ça m'a fait un peu bizarre au départ (trop addict au dessin du 'Maugwai'), mais Sourya a au final bien cerné l'univers de Petit-Panda. L'aquarelle est magnifique et les dessins très bon. Pour ce qui est de l'histoire, on nous révèle la jeunesse de Xiong Mao, avant son entrée à l'Université, avant la rencontre avec Chance et Ombre. Xiong Mao est comme dans la série principale : à l'écoute et défendant les moins chanceux. Et on retrouve également Fei Long toujours aussi attendrissant (et complètement amoureux de Petit-Panda). J'ai une nouvelle fois dévoré l'histoire proposée par Florent Maudoux et est vraiment apprécié le trait de Sourya. Un excellent spin-off (qui sera lui aussi en plusieurs tomes) à découvrir ! |
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