Rappelez-vous le récit du soldat Lazare Hornett qui rapporta, aux heures les plus sombres de la 1re Fédération, comment un détachement d'enfants perdus, conduits par le capitaine Silenter dans l'antique forêt d'Habbam, se retrouva comme par magie dans une étrange contrée prétendument appelée France où une seule lune au lieu de deux brillait dans le ciel nocturne. Votre mémoire est sourde ? Mais peut-être êtes-vous vous-mêmes Français ? Infos utiles : Nationalité des auteurs : Française Editeur : Association Dystopia - 343 pages – 17 nouvelles Acheter ce livre : Directement chez l’éditeur – Papier Avant-propos : Je pourrais vous parler de la structure de l’ouvrage qui se voit scindée par les cinq générations successives de la Fédération, elles-mêmes constituées de différentes nouvelles. Structure qui vient amener à penser qu’on tient entre les mains le récit historique d’un monde parallèle. J’essayerai de ne pas oublier de parler de la facilité avec laquelle les deux auteurs nous entraînent dans cet univers, qu’ils abordent par le regard militaire. Mais par le regard des hommes qui composent la milice de la Fédération, ce qui laisse une large place au regard humain sur le monde. Je pourrais vous parler de l’odeur de soufre et de sang qui se glisse entre chaque page. De ces successions de généraux, de lieutenants et de simples soldats qui se font suite à une cadence bien mesurée. De ces bataillons menés par des fous. De ces serviteurs dont les maîtres n’ont de cesse de les tourmenter. J’aborderai peut-être, les femmes et jeunes filles qui attendent impatiemment le retour de leur mari ou de l’élu, petites perles d’espoir. Les personnages fantomatiques, en proie à un passif qui vient les hanter après leur mort. Ou à l’inverse des vivants qui souhaitent voir disparaître définitivement leurs morts. De la Mort, elle-même. Ou bien de son incarnation vampirique, les oupires. Ou bien j’aborderai la poésie qui imprègne les pages écrites à quatre mains par le couple Rémy. La façon dont leurs mots fait sans cesse écho à d’autres évènements. Puis viendra le moment indispensable de vous parler de la fin. De la dernière nouvelle. De Fondation. Je bafouillerai un peu, je chercherai mes mots, finalement je me limiterai à l’idée que cette nouvelle clos le recueil de manière magistrale, que la surprise qu’elle apporte est totale. Que cette histoire permet un lien surprenant avec notre propre univers, et que finalement le tout a été « manœuvré » de mains de maîtres. Mais à quoi bon parler de tout ça ? Mon Avis : Ne passez pas à côté : LISEZ-LE ! Remerciement : Un immense merci aux éditions Dystopia de m’avoir permis de découvrir ce bijou !
3 Commentaires
Mon Avis : Franchement pas emballée par le premier tome de la série, j'ai tenté ce petit livre, histoire de voir si je pourrais renouer un peu avec le personnage principal. Il faut dire aussi que j'ai les tomes 2 à 5 qui attendent sagement dans ma PAL... Pour mon plus grand déplaisir, l'intrigue s'ouvre avec pour personnage principal... Camille, l'héroïne de l'opus 1, qui m'avait franchement exécrée... Mais ce coup-ci l'auteure n'a pas franchement le temps de s'attarder sur la dernière paire de chaussures que la miss à acheter - je passe délibérément les deux passages où elle fait un foin de sa tenue qui la rend canon/vraiment trop bonne. Avec seulement 120 pages, il faut aller à l'essentiel. Et heureusement ! Ce tome 0, s'intéresse aux sœurs D'Artigo avant leur venue dans le monde des humains et plus précisément, à la façon dont Camille à rencontrer son Svartan de petit ami, Trillian. Entre nous ce n'est pas vraiment ce qui m'a fait tenir, mais bien l'enquête que la sorcière mène et malgré ses pouvoirs biaisés, elle la résout sans une égratignure... Ce tome est truffé de clins d’œil à la suite des événements, et pour une personne qui commence la série, ce tome ne permet pas vraiment de ce mettre dans le bain, les informations arrivent vites, l'auteur ne s'encombrant pas de palabres (grand bien lui en a fait !) et va, comme je le disais plus haut, à l'essentiel - ou presque. On pourra noter l'absence flagrante des sœurs de l'héroïne, Menolly et Delilah remisées à des citations de leurs statuts actuels et à une rapide description physique (par contre on parle deux fois des cheveux de Delilah...). Des petits détails à souligner quand on voit la quatrième de couverture du bouquin ! En bref : Si je ne suis toujours pas charmée par cette série, je salue la caractéristique courte du roman qui permet d'éviter à l'auteur de tomber dans les écueils du tome 1. Malgré une appellation 0, ce livre est à lire après le tome 1 (si ce n'est plus loin).
Mon Avis :
Il faut se l’avouer, je ne lis que rarement d’autres genres que ceux de la SFFF, mais quand c’est le cas, mon choix se porte souvent sur un thriller. Dans ce roman, il sera question d’une enquête, meurtre d’une jeune femme de 18 ans, retrouvée égorgée dans sa chambre universitaire de Bois-Joli ; on s’intéressera également à l’homme chargé de l’enquête, Bernard Longbey et de sa longue descente en enfer, nous entraînant dans un tourbillon d’atrocités, de faux-semblants et d’incompréhensions. Le pire, le boulot de Bernard qui nous donne à montrer d'horreurs faites à des enfants, passages désagréables qui donnent la nausée, mais qui permettent aussi de mieux comprendre le personnage. Protagoniste au passé lourd et écœurant, Bernard n’a rien du parfait petit lieutenant. Avec des moments de schizophrénie passagers, je me suis demandé à de nombreuses reprises jusqu’où le personnage allait aller. Quand le voile se lève sur son passé, ce personnage devient carrément détestable, mais le besoin de savoir, de connaître l’identité du tueur est plus fort et l’on poursuit cette lecture. D’ailleurs, la surprise est bien là. Les certitudes que le lecteur acquiert au cours des chapitres, sont malmenées et détrompés dans les dernières pages du récit. Frustration suprême, le destin de Bernard n’est pas dévoilé, laissant planer un doute sur ce qui lui arrive. Dans la deuxième partie du roman, l’on se met à suivre Patrick Bellec, un collègue de Bernard. Patrick a de nombreuses similitudes avec Bernard, mais j’ai tout de même trouvé la fin un peu extrême, trop calqué sur le premier, j’ai trouvé dommage qu’aucun des personnages ne trouvent de rédemption… Avec Dernière Fenêtre sur l’Aurore, je découvre la plume de David Coulon, qui m’a autant surprise que déstabilisée. Des chapitres courts autant que des phrases monosyllabiques qui viennent hachées la lecture, le rythme de l’intrigue est largement soutenu par ce style propre aux thrillers. Je ne suis pas des plus fans de ce genre d’écriture, ce qui a largement ralenti ma lecture. Mais je suis arrivée à bout de ce court mais surprenant roman. En bref : Malgré un style qui ne me fait pas chaviré, ce court thriller a réussi à me surprendre et à m'épouvanter, je n'en attends pas moins d'un bon thriller et tous les ingrédients y sont pour que je savoure... Une très bonne découverte !
Mon Avis : Probablement le tome que j'ai préféré jusque là. Le texte s'enrichit, j'ai senti un travail plus poussé dans l'écriture, tant du point de vue personnages que du côté de l'intrigue. Le rythme est plus haletant, les quelques longueurs que j'avais ressenti dans les deux premiers opus sont ici effacées, remplacer par une haine envers le personnage de Royal... Ce troisième tome est une sorte de tournant dans la vie du jeune bâtard FitzChevalerie. Les complots autour de la couronne se font jour, les attaques des Pirates rouges de plus en plus rapprocher, on en voit de tous les côtés et c'est à se demander comment Robin Hobb va réussir à s'en débarrasser. Le jeune homme sort grandit de ces aventures pourtant ardues dans certains cas, l'emploi de l'Art et du Vif devient inhérent au personnage, enflent et laissent présager une suite de l'histoire des plus surprenantes. Cette lecture fut aussi celle traduisant le plus de sentiments possibles : une haine farouche envers Murfès et Royal, un amour incommensurable entre Fitz et Molly, et un peu plus timide entre Kettricken et Vérité, une incompréhension totale quand ce dernier part chercher de l'aide, du rire et de la folie en présence du fou... Tous ces personnages évoluent, certains dans des directions auxquelles je ne m'attendais pas, et notamment Molly il faut le dire... Mais les personnages ne sont pas les seuls à évoluer puisque la situation des Six-Duchés est ... des plus bancales, le royaume court à sa perte et la fin du tome ne permet pas de voir la lumière au bout du tunnel (il reste encore dix tomes pour ça). En bref : une très bonne lecture, qui vient me rassurer un peu sur la continuité de la série, le personnage principal se développant s'avère des plus intéressants ! Le Topo : La jeune Elinor doit faire ses preuves dans un monde où aucun faux pas n'est admis ! La maison de couture Tiffany crée des robes pour les ladies les plus fortunées d’Angleterre. Elinor n’en revient pas d’avoir été embauchée : désormais, elle sera sous les ordres de Bianca, la célèbre adolescente surdouée ! Mais Elinor doit s’adapter rapidement. Ici, on fabrique du sur-mesure pour mesdames les baronnes et duchesses ! Et Mrs Tiffany mise toute sa réputation sur d’incroyables bals, pour lesquels les costumes des invités sont réalisés sur mesure. Un huis clos victorien, où les secrets de chacun se dissimulent parmi soies et taffetas... Infos utiles : Série en trois tomes - pour un total de 144 pages Algésiras (centrafricaine) / Aurore (française) Prix : 14,50 € --- Acheter le tome 1 Mon Avis : La couverture du premier tome assez sobre ne me tentait pas plus que ça, mais à l’ouverture de celui-ci j’ai finalement revu mon opinion et ai décidé de tenter l’aventure. Les trois tomes engloutis me voici à vous narrer la jolie mais triste histoire d’Elinor Jones. Les premières pages d’Elinor s’ouvrent sur une anecdote sinistre, une jeune fille en larme refuse l’idée que ses colombes de compagnie aient finie dans son assiette… On apprend très vite qu’il s’agirait de l’œuvre de son frère aîné (je vous avais dit joyeux !). Ces premières planches amènent une aversion entière et complète envers ce jeune homme odieux et une attirance certaine pour la demoiselle. Celle-ci en larme se retrouve face à face avec Elinor, la nouvelle couturière de la maison. Ce personnage est très discret, et sa vie n’est révélée que peu à peu, tome après tome, on à quelques miettes de son passé, jusqu’au troisième et dernier tome qui révèle les éléments principaux. La galerie de personnage qui compose ce tryptique est très intéressante, tous les âges sont représentés et tous les caractères. Les sentiments, qu’ils soient amoureux ou amicaux sont bien amenés et transparaissent clairement, chose agréable à souligner. Les événements qui surviennent notamment à la fin du tome 2 et dans le troisième tome m’ont largement surpris, mais sont aussi sources d’avancement dans l’histoire, et ramène à neuf le départ tant attendu en fin de série. Le terreau est très favorable pour une suite, ou l’on s’intéresserait à la petite Tiffany. Malgré ça, le lecteur reste sur un goût amer... Mais ce qui m’a vraiment marqué dans Elinor Jones, c’est le dessin. Une couleur aquarellée du plus bel effet, des dessins, et notamment ceux des costumes et des robes réalisés par les personnages sont absolument sublimes ! J’ai passé plus de temps à regarder les dessins qu’à lire l’histoire, tant on nous montre des dessins atypiques servant à merveille l’intrigue de ces BD. En bref : Une trilogie qui vaut le détour ne serais-ce que pour les dessins. Un personnage principal discret mais qui ne se laisse pas faire, une battante ; des personnages intéressants qui servent une intrigue banale mais efficace. A lire !
Ce coup-ci j'avais vraiment envie de savoir ce qui allait arriver à Thomas, Teresa, Minho, Newt et tutti quanti... Oui mais, si le rythme globale du bouquin reste aussi haletant que le deux premiers, que les personnages sont fidèles à eux-mêmes depuis le début, à savoir déterminer à découvrir la vérité, alors pourquoi changer l'avis de son personnage principal quand les grandes révélations se proposent enfin à lui !? Si les deux premiers tomes m'ont entraîné dans un tourbillon d'aventures dont les héros ne sont en quête que d'une seule et unique chose : leur mémoire, ce troisième tome m'a entièrement refroidie. Je suis rarement sèche avec un bouquin j'y retrouve souvent un truc qui me plait, même un peu, ici j'ai du mal à en trouver le début d'un. On était dans le brouillard depuis le premier tome, ce qui apportait un peu d'attente quant au troisième tome, mais l'auteur se débarrasse complètement des problèmes qu'il a réussit à installer, et bâcle complètement sa fin, apportant une sorte de pirouette finale, assez attendue (une des premières idées qui m'est venue quand on a parler de la Braise...). C'est grossièrement amené, et on peut noté des incohérences dans le texte, surtout dans la dernière partie à mon avis... Je vous le disais j'ai donc eu du mal à comprendre Thomas, mais ce troisième tome ne m'a pas non lus éclairé sur des personnages comme Thérésa ou Brenda... Seul Newt sort clairement du lot et est le seul personnage plausible dans l'univers dépeint par James Dashner. Le seul nouveau personnage de ce troisième tome, le Bras Droit est très mal exploité et l'on aboutit à rien avec lui, si ce n'est un petit élan d'action sur la fin du roman qui vient donner une excuse pour revenir deux secondes (je vois comment ça pourrait être plus long) dans le labyrinthe... En bref : Une énorme déception pour cette fin de saga qui avait pourtant bien démarrer...
Mon Avis :
Avant de me lancer dans cette chronique, je tiens à remercier les éditions Dystopia de m’avoir permis de découvrir Le Prophète et Le Vizir. Ce livre réunit deux nouvelles, « L'Ensemenceur » et « Les huit enfants du vizir Fares ibn Meïmoun », qui s’inscrivent dans une continuité narrative mais nous changeant de point de vue. L’Ensemenceur s’intéresse à l’histoire d’un petit pêcheur de perles, Kemal bin Taïmour, né avec six doigts, se retrouve bien malgré lui, prophète. Mais ce don l’amènera sur des contrées auxquelles il n’aura pas pensé, près de six siècles plus loin. Prévisions si éloignées qu’elles ne font que le desservir auprès de ses interlocuteurs jusqu’à ce que, peu à peu, ce don envoyé par Allah, dans Son infinie sagesse, périclite, et rapproche ses visions de plus en plus près. Le petit pêcheur est un personnage surprenant, par sa capacité à survivre dans un univers qui ne lui fait pas de cadeau, érigé au rang de porte-voix du tout puissant, et il a beau voir ce qui se passera dans des siècles, il ne peut pas prévoir quand surviendra sa propre mort. De voyage en voyage, il sème derrière lui des petites parties de ce qu’il a pu découvrir du futur, espérant que ses paroles seront portées par les siècles et entendues par les descendants des prévenus. Et si dans un premier temps, j'ai eu du mal à suivre avec le nom des personnages et des lieux, à chaque fois que le héros avançait dans ses aventures, il m'était plus simple de me repérer. J’ai particulièrement apprécié de savoir si les paroles du Prophète étaient entendues et si elles avaient un impact même des siècles plus tard. On a l’occasion de voir toutes sortes de réactions face à un tel prodige, le petit homme est tantôt vénéré, tantôt invectivé par une population sourde à ses prédictions. Ce qui l’amène à douter lui-même et de la véracité de ses dires et de la nécessité à révéler l’intégralité de ses visions. L’intrigue et la trame amène le lecteur à réfléchir sur ce que peut être le destin, si cela est fatalement écrit. Et ce que feraient les hommes s’ils connaissaient l’avenir, ou si du moins, quelqu’un le leur contait. Si dans la première nouvelle, on se met à penser que le destin n’est pas entièrement tracé, la seconde nouvelle vient entacher quelque peu cette idée. La deuxième nouvelle, Les huit enfants du vizir Fares ibn Meïmoun, reprend la fin de la nouvelle précédente, avec un point de vue différent. Le Vizir tente de contrer le destin tragique de ses huit enfants qu’à prophétisé Kemal, on les envoyant se réfugier dans une terre des plus hostiles. On avance dans cette nouvelle un peu comme sur un grand échiquier, d’une partie en train de se jouer entre Dieu et seulement un homme. Le tout est servi par une composition à quatre mains d’excellente facture, qui réussit à nous faire voyager malgré la faible épaisseur de l’ouvrage. Je ne connaissais pas ce couple d’écrivain mais j’ai hâte de découvrir Les Soldats de la Mer. En bref : une très bonne lecture dû en grande partie à la réflexion que vient susciter le récit chez le lecteur. Ce conte « étranger » donne envie de voyager et pose la question de la destinée. A savourer !
Mon Avis : Après un premier tome drôle et rafraîchissant, je me lance avidement dans la suite des aventures de Rune Drexler, apprenti méchant, et de ses amis, euh pardon alliés, Jezebel, la vampire suceuse de chocolat chaud et Loup, et bien le loup. Dans ce second complot, Rune ne reçoit pas une quête à proprement parler, mais il devra en déjouer une. Et nous entamons le récit alors que nos trois comparses se trouvent en très mauvaise position. Légèrement plus sombre que le premier opus, Stephanie S. Sanders nous présente son point de vue sur la limite qui existe entre les Super-Héros et les Méchants. C’est bien présenté, pas surprenant pour deux sous (mais je ne suis pas le public cible premier), mais toujours bourré d’humour. L’arrivée de la princesse dans les murs de l’école donne un petit coup de peps au trio formé par Rune, Jezebel et Loup, donnant lieu à des situations assez comique. Quant à Fabien, le nouveau camarade de chambré de Rune, il apporte de nouvelles idées de complots. Un livre finalement pas bien épais, qui m’aura fait passer un bon et rapide moment, je trouve juste dommage que la quatrième de couverture révèle autant de chose, car contrairement au premier tome, les éléments qui composeront le livre ne sont pas présenté dans les 5 premières pages… En bref : Être du côté des méchants change des livres jeunesses habituels. On a là un livre jeunesse rafraîchissant, drôle, mais peu surprenant (à cause en grande partie de la quatrième de couv’ et de ficelles très grosses).
On la retrouve donc directement après la fin du tome 1, je sentais déjà le gros changement dans les dernières pages de Lacrimosa, et j’avoue avoir été servie dans Dies Irae de ce point de vue ! Un peu à l’image de Twilight, quand Edward disparaît des radars durant tout le deuxième opus, ici c’est Raphaël qu’on ne croisera pas du bouquin… Zekiel, le général démon croisé dans le premier opus, prend plus ou moins sa place de mâle dominant, diablement sexy, etc., etc. … J’avoue avoir été un chouïa déçue… Mais Zekiel tient la comparaison, avec son côté plus piquant que son opposé angélique. L’intrigue qui se développe est bien fichue, le côté mythologie biblique prend une tout autre dimension et ça fait du bien. Avec les Cavaliers de l’Apocalypse de Larissa Ione (dont je vous parle du premier tome ici), j’ai l’impression qu’il s’agit un peu, si ce n’est beaucoup, de la thématique du moment… Les événements réels actuels peut-être ? Cependant je trouve dommage que cette intrigue soit diluée dans autant de romance et d’érotisme… Je sais, je sais : tu lis de la bit-lit tu t’attendais à quoi ? Non mais sérieusement toutes les bit-littératures ne se valent pas. Avec Sascha, on a un personnage très attachant, mais hélas, plein de ressentiment en tout genre et qui ne pense – quasiment – qu’au sexe. A un moment donné, on se retrouve presque dans un carré amoureux (ça se dit, ça ?) et j’ai failli soupirer. Cette partie donc de l’intrigue même si cela fait partie intégrante du genre, s’avère parfois trop présent et étouffe une, parfois, très bonne intrigue… Dommage ! J’ai pourtant pris plaisir à suivre les aventures de Sascha, autant pour les surprises qui pavent ce second opus, que pour les questions qui restent encore en suspens. Et puis cette fin qui, une fois de plus, laisse une douce torture à son lecteur… ! En bref : Un bon moment de détente avec Sascha et Zekiel, malgré la grande présence d’érotisme, une intrigue qui s’étoffe et une fin à suspens qui donne envie de lire la suite…
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