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Requiem pour Sascha, tome 3 : Agnus Dei (Alice Scarling)

25/3/2016

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Quatrième de couv’ :
Convaincue par mon père que le salut de l’humanité repose entre ses mains, j’ai ouvert les Bouches de l’Enfer et précipité l’Apocalypse. L’affrontement final est sur le point de commencer, mais je n’ai plus la force de me battre après avoir vu s’entretuer Zeckiel et Raphaël, le démon et l’ange déchu qui ont changé ma vie à jamais. Pourtant le destin n’en a pas terminé avec moi : une personne que je n’imaginais plus rencontrer va tout remettre en question.
Face à la fin des temps, je devrai choisir entre enfer et paradis.

Infos Utiles :
Nationalité de l’auteur :
Française
Editeur : Milady – 379 pages – 41 chapitres
Genre : Bit-Lit
Acheter ce livre : Papier – Numérique
Mon avis sur : le tome 1 – le tome 2
Mon Avis :
Alica Scarling a un don pour mettre en haleine son lectorat quand elle clôt un tome. Le tome 2 s’achevait sur un autre cliffhanger, qui m’avait donné très envie de découvrir la suite, mais avec la pile de livres qui s’entassent dans ma bibliothèque j’avais d’autres lectures plus « urgentes ».

Enfin je me plonge dans ce troisième et ‘dernier’ tome. Je mets dernier entre guillemets car, il paraitrait que l’auteur reviendra dans cet univers, avec ces personnages.

L’on retrouve Sascha, Raphaël et Zeckiel au moment même où on les avait laissés à la fin de l’opus précédent. C’est un point que j’avais apprécié précédemment et cela n’a pas changé, si ce n’est que j’ai laissé pas mal de temps entre le tome 2 et le tome 3 et qu’il m’a fallu quelques pages avant de me rappeler les événements antérieurs.

Raphaël qui avait été le grand absent dans le tome 2, revient dans celui-ci ; le triangle amoureux qui en découle m’a plus agacé qu’autre chose. Les sentiments semblent évidents (mais seulement pour le lecteur), l’héroïne mets quinze ans pour se rendre compte de tout cela et fait n’importe quoi ensuite.

J’ai vraiment apprécié l’évolution de l’intrigue et l’apparition de nouveaux personnages, enfin surtout l’arrivée de Kévin, le fils de Jo. Sascha et Kévin ne peuvent pas être plus éloigné mais pourtant l’entente entre eux deux est plaisante et offre une pause bienvenue avec le triangle amoureux.

Dans ce tome, il y a quelques surprises que j’ai vraiment appréciées et auxquelles je ne m’attendais pas du tout. Et quelques révélations manquantes sont faites à propos de Zeckiel, un des personnages qui m’intriguait le plus.

Le changement de situation de Raphaël et de Zeckiel offre une nouvelle dynamique dans le récit, permettant de rebooster un peu la trame en « premier plan ». Le background étant entièrement dédié à comprendre si oui ou non, il faudra au groupe de choc ouvrir la dernière Bouche de l’Enfer.

Autant dans les opus précédents j’avais trouvé la partie sexuelle un chouia trop présente, ici, les scènes m’ont moins marquées par leur nombre que par leur importance dans le récit. Notamment la scène homme/homme qui m’a vraiment surprise, que je ne m’attendais vraiment pas à croiser dans cette série (et que je n’ai que rarement croisé jusqu’ici).

Bien plus rythmé que les deux autres tomes et offrant des révélations tant attendues, Agnus Dei clôt très bien la trilogie d’Alice Scarling. Le choix final de Sascha est celui que j’espérais (tout est donc pour le mieux !).

En Bref : Un triangle amoureux un chouia énervant, un nouveau personnage intéressant, une bonne trame et des révélations surprenantes, ce tome 3 est le meilleur de la trilogie. L’auteur annonce qu’elle reviendra peut-être à cet univers, j’espère qu’elle le fera. 

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Le Pays des Contes, tome 1 : Le Sortilège Perdu (Chris Colfer)

23/3/2016

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Quatrième de couv' :
Il était une fois, dans une ville parfaitement ordinaire, des jumeaux prénommés Alex et Conner…
Le jour où leur grand-mère leur offre un livre ancien, Le Pays des contes, leur vie plutôt morose change du tout au tout. Et pour cause ! Ce grimoire se révèle magique et les transporte dans un univers où les contes sont devenus réalité. Sauf que ce monde est beaucoup moins merveilleux que celui des belles histoires qu’ils ont lues. Boucle d’Or est une criminelle recherchée, Blanche Neige dissimule un lourd secret, et le Petit Chaperon Rouge n’a même plus peur du loup. Pour rentrer chez eux, Alex et Conner n’ont qu’un seul moyen : rassembler huit objets magiques comme la pantoufle de Cendrillon ou encore des cheveux de Raiponce, tout en tentant d’éviter les foudres de la Méchante Reine. Car cette dernière semble avoir un plan machiavélique qui pourrait bien piéger les jumeaux dans cette étrange contrée. À tout jamais.
Infos Utiles :
Nationalité de l'auteur : Américaine
Editeur : Michel Lafon - 412 pages - 15 chapitres
Genre : Réécriture de contes - Jeunesse
Acheter ce livre : Grand Format - Poche - Numérique
Mon Avis :
Ce titre me faisait très envie, ne serait-ce que pour son sujet et sa couverture ! J'avoue avoir été très surprise quand j'ai ouvert ce livre et que j'ai découvert la trombine de l'auteur dans le médaillon de la 2e de couverture... Chris Colfer, ce nom me disait quelque chose mais je n'arrivais pas à y mettre un visage... Et comme pour beaucoup j'ai eu ma période Glee, donc découvrir que l'acteur tenant le rôle de Kurt Hummel dans la série, a écrit un bouquin m'a un peu... refroidie. Je sais c'est mal les préjugés, tout ça, mais bon soyons honnête, il n'aurait pas été le premier à faire une mauvaise réorientation.

Je plonge donc dans ce roman jeunesse avec quelques a priori...

Première constatation, loin de mon idée première, le roman n'est pas trop mal écrit. Il n'y a rien de révolutionnaire dans l'écriture du jeune Chris Colfer, mais ça se lit bien, et le rythme est bel et bien là. 
J'ai tout de même trouvé que l'histoire mettait un certain temps à démarrer...

Alex et Conner sont très sympathiques à suivre (même si parfois les claques se perdent). La partie monde terrestre est assez classique, avec ses habitudes si je puis dire, puisque l'on commence dans une salle de classe, comme c'est trop souvent le cas dans les récits pour la jeunesse (un point de repère me direz-vous). Un début de trame usé mais qui fonctionne encore... 
Dès l'instant où les enfants mettent la main sur le livre du Pays des Contes, on sent et l'on sait (pour peu que l'on n'ait pas lu la quatrième de couverture, que l'on n'ait pas vu la couverture et que l'on n'ati pas lu le titre du livre... mouais enfin vous m'aurez comprise) que quelque chose va se passer, et on l'attend ardemment.

Et l'attente est à la hauteur de la découverte. J'ai adoré me plonger dans le Pays des Contes en compagnie des deux enfants. J'allais de surprise en surprise, quelques points m'ont moins agréé mais ce ne sont que détails par rapport à la bonne imagination de l'auteur. Il retravaille et revisite les contes qui ont fait grandir une bonne partie d'entre nous, et joue habilement avec nos connaissances. On retrouve les principaux héros habituels, Cendrillon, Boucle d'Or, Aurore (la Belle au Bois Dormant) et même Ondine (enfin Ariel, mais dans sa version éthérée, comme dans l'histoire originale). Ils sont tous assez semblables à ce qu'on connaît d'eux, à quelques détails près qu'on les redécouvre, comme une suite à "Et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants". 

L'intrigue ne révolutionne, une nouvelle fois, pas du tout le genre, mais tient la route. J'ai tout de même trouvé que certains éléments étaient trop rapidement expédiés, chose un peu frustrante quand on s'attend à des embûches et des casses-têtes invraisemblables. Mais ce point n'est tout de même pas trop mal dosé, rappelons qu'il s'agit d'un roman pour la jeunesse, d'autant plus se déroulant dans un univers de conte contemporain, les choses doivent bien finir...

Certaines questions restent en suspens, c'est une bonne chose car cela donne envie d'aller faire un tour dans le tome 2. Cependant, ce livre se suffit à lui-même, car il comporte un début avec une situation spécifique, un dérouler de l'intrigue et une vraie fin à l'histoire ; donc pour celles et ceux qui auraient peur de se lancer dans une énième série, pas besoin de trop s'en faire.

En bref : Un premier tome intéressant, offrant une redécouverte des héros des contes de notre enfance (et de notre moins grande enfance). Les personnages principaux m'ont un peu agacé parfois, ce qui fait que ce livre ne sera pour moi qu'une bonne lecture. Chris Colfer ne révolutionne pas le genre de la réécriture de contes, il s'insère dans un courant qui fonctionne et offre un exemple de ce que pourrait être un autre Once Upon A Time... et au final nous sert une lecture sympathique.

Lu dans le cadre d'une Lecture Commune organisée par Ichmagbücher

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Fahrenheit 451 (Ray Bradbury)

20/3/2016

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Quatrième de couv’ :
451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s’enflamme et se consume. Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif. Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d’un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l’imaginaire au profit d’un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé. 

Infos Utiles :
Nationalité de l’auteur : Américain
Editeur : Folio SF – 213 pages – 3 parties
Genre : Science-Fiction – Dystopie
Acheter ce livre : Papier
Mon Avis :
Fahrenheit 451, un classique dystopique que je n’avais, jusqu’alors, jamais eu entre les mains. J’avais vaguement entendu parler de l’intrigue, la lecture est bannie et les livres sont brûlés et ça s’arrêtait là.
Découvrir que le protagoniste principal est un pompier chargé, non pas d’éteindre les incendies, mais de les créer m’a tout de suite plu. Bien entendu, le fait que Guy Montag, le personnage principal, remette en question les agissements de son équipe a été un plus non négligeable.

A propos de ce personnage j’ai eu au départ du mal à m’identifier à lui, à m’y attacher vraiment. Pour moi dans les premières pages, il a l’air de se laisser aller dans son environnement, d’être en « pilote automatique ». Et en cela, la découverte de son lieu de vie, de sa maison vient complètement renforcer cet aspect. Sa femme est totalement dans cette optique, elle n’a d’yeux que pour les écrans qui l’entourent et laisse la vraie vie lui passer à côté.

Mais ce qui m’a le plus marqué dans Fahrenheit 451 est sans conteste l’univers dépeint par Ray Bradbury. Humanité qui se délite, le bonheur a disparu si ce n’est dans la contemplation, l’amour n’existe plus (même si l’on se met à y croire le temps de quelques pages). La tirade de Beatty, à propos de la culture de masse et du nivellement vers le bas des différents supports, fait froid dans le dos (ressenti renforcé par la société actuelle). Tout comme l’absence de réaction de la population vis-à-vis de la guerre – pardon, une femme dont le mari sans va, a un sursaut de conscience mais éphémère.

Les trois parties qui composent l’ouvrage vont crescendo. La dernière m’a vraiment surprise au départ et en y réfléchissant, l’auteur ne pouvait pas vraiment proposer une autre solution, allant ainsi jusqu’au bout de sa vision.

En Bref : Un classique que je découvre seulement maintenant, mais à mon avis mes lectures passées m’ont fait bien plus apprécier cette dystopie. Ray Bradbury propose un univers dérangeant tant il peut faire écho à ce que l’on connait. A lire ! (si ce n’est pas déjà fait).

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Powerful, tome 1 : Le Royaume d’Harcilor (S.N. Lemoing)

10/3/2016

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Quatrième de couv’ :
Depuis douze ans, le pouvoir a été usurpé au royaume d'Harcilor.
Cyr, un homme de savoir, et son fils adoptif, Kaaz, ont constitué une école secrète.

En effet, dans ce monde certaines personnes naissent dotées de pouvoirs magiques : les Silarens.
Seulement, il n'est pas toujours aisé de déceler ses pouvoirs.
Ils seront bientôt rejoints par une jeune femme bien mystérieuse qui a beaucoup à leur apprendre.

​Alors que Litar, reconnu comme l'être le plus puissant du royaume s'absente durant quelques temps, ils entrevoient pour la première fois la possibilité d'agir.
Parviendront-ils à retrouver leur liberté ? Feront-ils les bons choix ?
Infos Utiles :
Nationalité de l’auteur :
Française
Editeur : Auto-édition – 386 pages – 27 chapitres
Genre : Fantasy
Acheter ce livre : Papier – Numérique

Remerciements : Je tiens à remercier S.N. Lemoing de m’avoir envoyé son livre.

Mon Avis :
Powerful fut l’occasion de découvrir, pour la première fois, un ouvrage autoédité.

L’univers créé par l’auteure est vraiment très étoffé et c’est sans doute ce qui m’a le plus accroché dans le récit. La population est séparée en deux groupes distincts, les Silariens qui possèdent des pouvoirs et les Iesilariens qui n’en ont pas. Cette magie est assez diversifiée et se présente un peu aléatoirement dans la population, c’est un des points que j’ai le plus apprécié dans cette mythologie. D’autre part, une personne peut posséder un ou plusieurs pouvoirs différents, ce qui la rendra plus puissante. Globalement cette magie est intéressante, mais sur la longueur j’ai trouvé qu’elle était trop « gentille ». C'est-à-dire que les Silariens n’ont que peu de contreparties (si ce n’est aucunes) en échange de leurs pouvoirs. Alors oui, ils se sentent un peu fatigués après un usage trop intensif de leurs pouvoirs mais ça reste, à mon goût, bien trop lisse.

La fin du récit est venue accentuer mon idée de cette « trop bonne » magie. Avec une fin un peu crasseuse qui vient malmener le lecteur dans ses quelques repères, S.N. Lemoing avait – presque – réussi à me faire oublier ma première idée sur la magie d’Harcilor. Et le dernier chapitre vient tout remettre en place, quelle frustration ! D’où mon impression de magie « proprette ».

Outre cette magie, il y a des règles qui régissent le pouvoir en place dans le royaume d’Harcilor. Le roi ne doit pas posséder plus de pouvoirs que le chef des Gardiens, les hommes et femmes qui composent le corps de garde du château. Cela évitera que le roi ne devienne fou et puisse être arrêté… Pour moi, ici ça coince un peu. Rien que l’intrigue repose sur la prise de pouvoir d’un usurpateur en lieu et place du vrai roi… Et le système de Gardiens reste cependant en place, bon on pourrait m’objecter le fait que le chef de Gardiens est de connivence avec le roi, mais je trouve que du coup cela perd un peu de sens d’expliquer cette règle au cours du récit, l’impact est moins grand et perd en crédibilité.

Concernant l’intrigue en général, j’ai eu un mal fou à me plonger dans l’histoire : les personnages arrivent à bras raccourcis, sont très nombreux, et l’intrigue ne me semblait pas très fluide. Par exemple quand, à la fin du premier chapitre, un des protagonistes annonce qu’il faudra anéantir le roi et toute sa Garde, je me suis poser la question pourquoi, car à ce moment je manquai d’éléments pour comprendre leur but.  Il m’a fallu un bon quart du roman avant de vraiment me plonger dans ce nouvel univers.

Alors je ne sais pas si la version numérique diffère de la version papier, mais par exemple l’histoire courante et les flashbacks ne sont pas délimités, ou si c’est le cas, je n’ai pas réussi à repérer cette séparation, si bien que dès les premiers chapitres, je me sentais complètement perdue. J’ai fini par comprendre les retours fréquents en arrière, après un petit bout de temps, dommage car tout cela apporte au récit une temporalité bienvenue et appréciable qui nous permet de comprendre le pouvoir en place.

Comme je le signalais plus haut, les personnages sont foison et m’ont, au départ, plus perdue qu’autre chose. A la lecture, je n’avais pas le temps de m’intéresser vraiment à un des protagonistes qu’un autre apparaissait et ainsi de suite. Ce qui fait qu’au final, je ressors de cette lecture sans avoir un personnage qui m’a vraiment marqué… tous revêtent une importance dans le récit, chose non négligeable et appréciable, mais le fait de s’intéresser à trop de personnages en parallèle entraine une certaine confusion.

Côté écriture, j’ai apprécié l’écriture de S.N. Lemoing qui permet une lecture fluide et agréable. J’ai eu quelques gênes avec certains des termes employés, qui pour moi me semblent être des mots qui ont été recherchés (notamment sur les teintes de couleurs), après c’est une histoire de goût mais je pense qu’aller à la facilité à parfois du bon.

En Bref : Une bonne mythologie, un univers neuf bienvenue, des termes innovants ; toutes ces choses auraient pu me permettre de faire de Powerful une excellente lecture, mais cela est malheureusement un peu trop noyé par les personnages trop nombreux, et la non-linéarité du récit. Dommage car, pour moi, Powerful a un vrai potentiel.

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