Ce coup-ci j'avais vraiment envie de savoir ce qui allait arriver à Thomas, Teresa, Minho, Newt et tutti quanti... Oui mais, si le rythme globale du bouquin reste aussi haletant que le deux premiers, que les personnages sont fidèles à eux-mêmes depuis le début, à savoir déterminer à découvrir la vérité, alors pourquoi changer l'avis de son personnage principal quand les grandes révélations se proposent enfin à lui !? Si les deux premiers tomes m'ont entraîné dans un tourbillon d'aventures dont les héros ne sont en quête que d'une seule et unique chose : leur mémoire, ce troisième tome m'a entièrement refroidie. Je suis rarement sèche avec un bouquin j'y retrouve souvent un truc qui me plait, même un peu, ici j'ai du mal à en trouver le début d'un. On était dans le brouillard depuis le premier tome, ce qui apportait un peu d'attente quant au troisième tome, mais l'auteur se débarrasse complètement des problèmes qu'il a réussit à installer, et bâcle complètement sa fin, apportant une sorte de pirouette finale, assez attendue (une des premières idées qui m'est venue quand on a parler de la Braise...). C'est grossièrement amené, et on peut noté des incohérences dans le texte, surtout dans la dernière partie à mon avis... Je vous le disais j'ai donc eu du mal à comprendre Thomas, mais ce troisième tome ne m'a pas non lus éclairé sur des personnages comme Thérésa ou Brenda... Seul Newt sort clairement du lot et est le seul personnage plausible dans l'univers dépeint par James Dashner. Le seul nouveau personnage de ce troisième tome, le Bras Droit est très mal exploité et l'on aboutit à rien avec lui, si ce n'est un petit élan d'action sur la fin du roman qui vient donner une excuse pour revenir deux secondes (je vois comment ça pourrait être plus long) dans le labyrinthe... En bref : Une énorme déception pour cette fin de saga qui avait pourtant bien démarrer...
2 Commentaires
Me voici donc avec Alice au Pays des Zombies dans le panier et me demandant franchement ce que ça allait donner ... Si cette lecture fut rapide, c'est pour la partie romance de l'ouvrage et pas pour l'intrigue en elle-même. J'apprécie les amourettes entre les personnages et c'est généralement ce qui me fait tenir quand et bien ... il n'y a rien d'autre ! Là je ne vais pas être entièrement négative, puisque j'ai quand même apprécié l'originalité proposée par l'auteur à savoir la possibilité de combattre les zombies, qui sont des entités intouchables, par l'esprit qui sortirait du corps des combattants.. C'est sympa, mais quand même sans plus ... Comme j'en parlais plus haut, je suis en phase Relecture de Contes ... Avec un nom pareil que celui de ce livre je me suis dis bingo ! Mais c'est franchement raté pour cette partie ... On a bien une héroïne du nom Alice, qui se retrouve livrée à elle-même à la suite de la disparition de ses parents. Jusque là ça semble pas mal, MAIS, pas de créatures étranges comme des chenilles fûmeuses de hash, ou des fleurs parlantes ... mais des Zombies. Côté Lapin Blanc, il est là mais n'est finalement qu'un prétexte pour poursuivre dans l'idée du titre. Donc au final, seuls les titres des chapitres (qui entre nous sont très longs) font directement référence à Alice. J'aurai pu m'amuser à trouver des équivalences entre le conte original et cette "adaptation" mais franchement je n'en ai pas vu l'utilité ... j'aurai passer plus de temps à chercher qu'à vraiment lire le livre. Pour en revenir au livre en lui-même, l'héroïne est carrément bad-ass (où est passée la Alice un peu écervelée qui ne fait que chouiner ?) pour quelqu'un qui vient de perdre ses parents ... Elle en parle toutes les dix lignes dans un premier temps, malgré l'arrivée d'une tornade de bonnes humeurs et de drôleries, je parle de Kat, sa nouvelle meilleure amie. Et d'un coup bam ! Mâle testostéroné en vue avec un sublime regard violet - violet, sérieux !? - : j'oublie mes soucis ! Normal ! On retombe ennuyeusement dans le schéma très classique de la nouvelle arrivante dans un lycée, qui tourne autour d'un mec - de préférence canon et/ou dangereux. Sans oublier bien entendu l'ex complètement jalouse qui veut étriper la pourtant très frêle nouvelle élève ... Rien de neuf sous le soleil ! On voit la fin surgir à des kilomètres pour peux qu'on ai déjà ingurgité un bon nombre d'autres livres de ce type - ou qu'on ai un brin de jugeote, au choix - ce qui est finalement assez vexant en tant que lecteur et frustrant car sans surprise. Voilà j'avais dis que je ferai soft ... c'est un peu raté ! En bref : La suite se fera sans moi !
La Compagnie des Lames, tome 1 : Renaissance de Nicholas Tackian et Dave Kendall
une histoire plutôt classique : une ancienne compagnie de joyeux mercenaires d’origines éparses, dispersée depuis bien longtemps, obligée de se reformer pour un accord passé avec la royauté. Ce premier tome place donc les personnages dans la phase reformation de la compagnie, autrement dit, les événements qui se déroulent durant la cinquantaine de pages, ne sont pas vraiment importants. L’auteur nous installe juste dans une position de confort pour comprendre son récit, mais perso, je trouve ça un peu lent. Au niveau des personnages, rien de bien neuf : un émissaire humain du roi est envoyé à la recherche des anciens héros de la compagnie composée dans le désordre : d’une elfe, d’un nain, d’un humain et d’un ork. Quatre individus somment toute bien différent mais mobilisés par un serment qu’ils ont fait jadis à leur roi. Je n’ai pas été transcendée par ce premier opus, manquant cruellement d’actions (si on met de côté le combat de l’elfe dans l’arène, torché en trop peu de planches) donc « trop plat » à mon goût mais qui laisse néanmoins présager une suite assez intéressante au vu de l'intrigue générale et de la dernière page. Côté dessin, si je ne me trompe pas, on a une colorisation direct, c'est-à-dire sans contour des personnages au préalable. Je trouve que le rendu n'est pas des plus agréables, mais colle vraiment bien avec l'ambiance un peu dark qui se dégage de la globalité du tome. Eleanor & Park de Rainbow Rowell
Eleanor & Park, c'est une jolie romance.
Les personnages principaux sont attachants tant leur maladresse prête à sourire. Ils sont touchants quand les mots sortent enfin et que leur gestes expliquent mille fois mieux ce qu'ils essayent de se dire. Ils sont géniaux pour leur simple goût musicaux, ainsi que dans leur choix de comics. L'histoire se déroule, certains événements sont attendus car vus et revus, mais encore une fois ça fonctionne. Mais le tout est : empaqueté dans un énième lycée, avec d'autres personnages, des lycéens ne souhaitant que le mal autour d'eux et bien entendu notre héro(ïne) se relevant malgré l'adversité. Parce que oui Eleanor & Park est bien une autre romance ado, bourrée de clichés. Pour tout dire j'ai lu des histoires bien plus touchantes et bien plus attachantes (rien que toute la bibliographie de Sarah Dessen relève le tout d'un cran, ne serais-ce, si je puis dire, que le côté dramatique de la situation familiale d'Eleanor). Malgré le fait que le genre soit épuisé jusqu'à la corde, la mayonnaise à quand même pris avec moi. E & P est un bon roman, mais qui ne fera pas partie dans mon top lecture de l'année ... Les Sœurs de la Lune, tome 1 : Witchling de Yasmine Galenorn
Oui vous avez bien lu, si jusqu'alors j'ai été pour la plupart du temps séduite par les séries publiées chez Milady, je dois avouer que ce coup-ci, j'ai un peu loupé le coche. Le pitch était pourtant aguichant : trois sœurs de sang-mêlés (mi-Sidhe, mi-humaine) avec des pouvoirs différents (Vampire, Chat-Garou et Sorcière) œuvrent pour l'Outremonde en territoire humain. En fait elles chassent les démons sur Terre, parce qu'elles ne sont pas bien perçu en Outremonde. Le hic se pose là : le personnage principal que l'on suit dans ce premier tome est Camille, la sœur sorcière et de loin l'héroïne la plus superficielle que j'ai pu croisé dans le genre. Et pourtant je pense en avoir lu quelques-uns ... A contrario d'une Paige dans Femmes de l'Autremonde de Kelley Armstrong, Camille pense à la lingerie qui ferait chavirer le cœur (ou tout autre organe masculin) de son Svartran (comprenez elfe noir) de petit ami, tout en se demandant ce que penserait tel autre personnage masculin rencontrer il n'y a pas 5 minutes ... Tiens justement en parlant de personnages masculins : bon sang que de clichés ! Chase le premier et seul humain de la joyeuse troupe en pince pour Camille depuis qu'il l'a rencontré - à chaque fois ça ne loupe pas l'humain benêt à le nez dans le décolleté de la donzelle. Mais d'un coup d'un seul, monsieur se désintéresse de la sorcière pour se faire [SPOILER] sa petite sœur garou[/SPOILER]. Trillian est pas mal non plus dans le genre, censé couché à droite à gauche sans jamais se fixer, il revient en courant dans les bras de la plantureuse Camille (oui, oui encore). Il y a également le Kitsune, enfin un personnage intéressant mais qui malheureusement fait pâle figure face au Kitsune de Richelle Mead dans sa série Cygne Noir ... Pour finir, le dernier mâle à apparaitre dans ce livre est Flam, qui à mon goût est de loin le plus intéressant. Mais une fois de plus "l'héroïne" vient gâcher un peu tout ça quand tout à coup on lit ça : "Comme je m'arrêtais net, Flam me rentra dedans. Même si je sentis sa main sur mes fesses, je n'avais pas le temps de le repousser." Magique non ? Perso ça m'a un peu casser dans mon élan de sympathie pour l'ensemble du bouquin. Parce que oui : tout n'est pas à jeter aux orties non plus ... La trame principale, une quête pour sauver les deux pays (outremondien et terrien) a déjà par de nombreuses fois fait ses preuves. Camille m'a certes passablement énervé mais Delilah et plus particulièrement Menolly semblent plus intéressantes et moins aberrantes ! J'ai la suite sur mes étagères et heureusement que l'on change d'héroïne dans le prochain opus, sinon je pense que je n'aurais pas poursuivi cette lecture. Challenges :La Sélection, tome 2 : L'Elite de Kiera Cass
Mon Avis : Après le premier tome que j'avais bien apprécié, j'attendais avec une certaine impatience de pouvoir lire la suite, mais le manque de temps et notamment les études m'ont contrainte à repousser sans cesse cette lecture. Enfin dans mes mains, ce deuxième opus n'y sera pas resté très longtemps, à peine quelques heures ! On retrouve America, toujours en lice pour obtenir la main de Maxon, le prince et futur roi d'Iléa. Les concurrentes ne sont plus que 6 et parmi elles, on retrouve Céleste, la peste de service et Marlee, la bonne copine, qu'on se met à aimer de plus en plus au fil des pages. La sélection est rude et les candidates sont soumises à des épreuves, pour la plupart protocolaire, afin de les distingués aux yeux du roi et de la reine, mais aussi auprès de Maxon. Au milieu de tout ça, il y a des raids des Renégats, qui font des victimes au sein du palais et aussi en dehors. Mais dans ce tome on entrevoit un peu plus les raisons qui les poussent à effectuer ces raids, sans pour autant nous éclaircir complètement, ce qui assez frustrant. Mais pour la plupart des lectrices, ce qui nous intéresse vraiment c'est l'histoire du triangle amoureux ... Que j'ai trouvé finalement très convenu. Maxon, Aspen entre les deux le cœur d'America balance, ce qui nous fait pousser de nombreux soupirs - qui furent des soupirs d'exaspérations pour ma part. Et pour une fois, je ne ferais pas parti d'une "team" particulière, qu'elle finisse avec l'un ou l'autre ne m'embête pas, mais je la trouve assez énervante dans ses choix de retrouver l'un ou l'autre, sans pour autant réussir à se fixer, une bonne fois pour toute ... J'ai eu l'impression de tourner en rond pendant une bonne partie du roman, un peu comme l'héroïne qui ne sait pas ce qu'elle veux, n'y vraiment ce qu'elle fait là ... Mon ressenti s'est nettement amélioré lors de l'épreuve "accueil d'une délégation étrangère". La scène avec les diplomates italiennes est assez agréable et à donner un petit coup de fouet - si je puis dire - à l'histoire général et à America. C'est finalement la scène finale, celle avec le roi, qui m'a le plus surprise. Malgré cette déception (mais les tomes 2 ne sont-ils pas tous un peu comme ça ?), je tenterai le tome 3, mais cette fois je n'en attendrai pas trop ! Cela reste tout de même une bonne histoire pour se divertir durant quelques heures ! Challenges :Flight Of Angels sous la direction de Rebecca Guay
Mais l'adage est bien connu : on ne juge pas un livre à sa couverture .... Rebecca Guay, avec son talent de dessinatrice, a réuni différents auteurs pour réaliser cet ouvrage. Ainsi, Holly Black, Louise Hawkes, Alisa Kwitney, Bill Willingham et Todd Mitchell ont chacun composé une des histoires/contes s'insérant dans le récit. Un ange tombe du ciel dans une forêt étrange où vivent des créatures surnaturelles. Ces créatures n'arrivent pas à se décider de la marche à suivre sur l'ailé blessé. Faut-il le tuer ? Faut-il le soigner ? Étonnement, les créatures décident de mettre en place un tribunal "à la bonne franquette" : ils se font tour à tour témoin d'une histoire, d'une vieille légende pour venir imaginer et illustrer l'idée qu'ils se font de l'ange tombé du ciel. C'est de cette façon que viennent s'intercaler dans le récit, ces différentes petites histoires. Malheureusement, ces histoires se révèlent très inégales. Elles avaient pourtant bien commencé avec la nouvelle "Péché originel" écrit par Louise Hawes ; exposant une relecture de la Bible et notamment du passage sur Adam et Eve. Cette histoire assez surprenante et agréable (surtout quand on est une femme) est sans conteste magnifiée par le trait de Rebecca Guay. La seule autre histoire qui est trouvée un vrai intérêt - surtout esthétique -, est "l'Etre de lumière" ; qui vient éclairer un peu notre lanterne - ahaha elle est bonne celle-là - sur la forêt et ses habitants du récit principal. Elle s'avère cependant bien courte et ne m'a pas offert suffisamment de temps pour véritable apprécier cette histoire. Les autres histoires restent intéressantes, mais ne révolutionnent pas le genre du conte fantastique et le tracé offert par la dessinatrice est bien moins attractif que le reste de l'ouvrage (exception faite du conte "Le Gardien"). J'ai même eu un léger recul arrivé au conte de "Chaya Surah et l'Ange de la Mort" ... Le résultat de cette lecture est finalement en demi-teinte, assez alléchant au premier abord, mais décevant à la fermeture de l'ouvrage car il présente trop d'inégalité dans le résultat de ces collaborations. Poison de Sarah Pinborough Quatrième de couv' : Blanche-Neige, le conte de fées revisité : cruel, savoureux et tout en séduction. Rappelez-vous l'innocente et belle princesse, la méchante reine impardonnable, le valeureux prince, la pomme empoisonnée et le baiser d'amour sincère... ... et à présent ouvrez ce livre et plongez dans la véritable histoire de Blanche-Neige, telle qu'elle n'a jamais été révélée ... Mon Avis : Par où vais-je bien pouvoir commencer ? Honnêtement avant d'ouvrir Poison, je ne m'attends à strictement rien, n'ayant pas lu quelques chroniques - pourtant nombreuses - sur la blogosphère, mon esprit n'avait pas été "pollué" par des avis positifs ou négatifs. La seule chose que j'appréhendais un peu : un remake du remake Once Upon a Time. Car oui, j'apprécie fortement cette série, et la retrouver en livre (version moins bien, forcément) ne m'enchantais pas plus que ça ... À mon avis (et j'en suis vraiment désolée), l'auteure a elle aussi du regarder cette série et s'en est un peu inspirée. Blanche-neige n'est pas la toute mignonne jeune fille, prude et naïve dépeinte dans le dessin animé de Disney, mais bien une jeune femme à fort caractère, et faisant ce qu'elle veut (porter des vêtements d'hommes, montez des étalons, choses rappelons le impensable pour une fille de bonne famille, etc.). J'ai retrouvé le portrait des Blanche-Neige qu'on peut retrouver dans Once Upon a Time, Blanche-Neige et le Chasseur ou encore Miroir, Miroir ... Jusque-là rien de nouveau sous le soleil ! Le problème avec cette Blanche-Neige-là, c'est qu'elle a beau avoir un fort caractère, cela ne l'empêche d'épouser le premier venu ... Nous avons donc là un personnage qui se contredit lui-même. Soit. Le personnage de la méchante reine, qui finalement est le personnage central et le plus intéressant de ce roman, est un personnage dont les sentiments évoluent au fur et à mesure de l'histoire. Au départ, elle n'aime pas Blanche-Neige (c'est un fait), mais cette dépréciation ne fait que prendre de l'ampleur tout le long de l'histoire, même quand elle demande au chasseur de tuer Blanche, on sent encore une pointe d'hésitation, finalement elle ne fait que ressentir de la haine pure envers cette dernière quand elle découvre qu'elle est encore en vit ... Dans cette histoire, point de 7 nains, mais des nains tout court ... (elle est pas bonne ma blague ?) On suit essentiellement Rêveur et Grognon, on apprend également qu'un nain s'appelle Moignon (j'ai trouvé cela d'assez mauvais goût je dois dire). Et ma foi, Grognon n'est pas tout à fait ce qu'il prétend être. Et puis le chasseur ... (perso j'ai pensé à Jamie Dornan tout du long, est-ce que c'est mal ? quand on voit les scènes avec la reine et la petite princesse, ça colle avec Mr Grey non ?) Oui parce que si vous vous attendez à mon monde de Bisounours où les princesses n'ont le droit qu'à un chaste baiser pour être réveillées ... On est loin du conte (ahaah, l'erreur est voulue) ! Non ici, les scènes sont plus qu'osées, ne laissant que très peu de place à l'imagination. Voilà comment briser un mythe d'enfance en l'espace de quelques pages ... Blanche-Neige devient une dépravée et se fait sautée (passez moi l'expression) par deux fois dans ce bouquin ! Au moins, avec des titres comme "Blanche-neige et les lances-missiles" (Catherine Dufour chez J'ai lu), on sait à quoi s'attendre mais là j'avoue que ces scènes tombaient comme un cheveu sur la soupe. Néanmoins, sans ces quelques scènes de cul (appelons un chat, un chat), le bouquin aurait pu être résumé par : "n'apportant strictement rien ..." Car ce sont ces événements-ci qui déclenchent, certes l'étonnement des lecteurs, mais qui enclenchent un tantinet l'action. Je passerai sous silence l'intérêt de la présence d'Aladdin, des souliers en diamants et de la méchante sorcière d'Hansel et Gretel. La fin est certes horrible, mais je l'a trouve géniale, pour une fois au moins, un conte ne fini pas en happy-end, et cela colle parfaitement avec l'univers qu'à créé Sarah Pinborough. Cependant j'ai trouvé un point extrêmement positif dans cet ouvrage (littéralement) : les illustrations ! Très jolies, elles viennent orner les nouveaux chapitres dévoilants quelque peu ce qui va s'y passer ... En bref : Si je m'attache à la version originale, ce livre est une horreur. Mais ne vouant pas un culte à ce conte, Poison fut distrayant et la fin y est absolument parfaite. |
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